Émilie Chalas signataire d'une tribune pour accélérer l'adoption de la loi sur l'IVG

Émilie Chalas intègre l’as­so­cia­tion “éco­lo­giste LREM” En com­mun, aux cotés de Barbara Pompili

Émilie Chalas intègre l’as­so­cia­tion “éco­lo­giste LREM” En com­mun, aux cotés de Barbara Pompili

 

FOCUS – À quelques jours du second tour des municipales de Grenoble, la députée-candidate Émilie Chalas annonce rejoindre les rangs de la (très jeune) association En commun, fondée par des parlementaires LREM. La parlementaire y voit « une nouvelle page » de son engagement politique. Et l'occasion de porter une écologie « pragmatique » et « efficace ».

 

 

« Aller plus vite, plus loin, plus fort ». Si Émilie Chalas, députée de l'Isère et candidate aux municipales de Grenoble, paraphrase la devise de Pierre de Coubertin, ce n'est pas pour parler de sport… mais d'écologie. Sans rien renier de son engagement auprès du groupe En marche à l'Assemblée nationale, la parlementaire annonce ainsi rejoindre la (toute jeune) association politique En commun.

 

Émilie Chalas annonce rejoindre l'association En commun © Florent Mathieu - Place Gre'net

Émilie Chalas annonce rejoindre l'association En commun. © Florent Mathieu - Place Gre'net

 

Une annonce formulée à l'occasion d'une conférence de presse mardi 24 juin, en présence de Barbara Pompili via Zoom. L'ancienne membre des Verts, élue députée de la Somme en 2017 avec l'investiture LREM, compte en effet parmi les fondateurs d'En commun, aux côtés de ses collègues Jacques Maire et Hugues Renson. Pour l'heure, explique la cofondatrice, l'association compte dans ses rangs une cinquantaine de parlementaires.

 

 

« Quelque chose de plus radical »

 

Pour Émilie Chalas, l'adhésion n'a rien d'anecdotique. « Il est temps pour moi de tourner une page de mon engagement politique pour en ouvrir une nouvelle », déclare la députée. Tourner une page ? Pas question pourtant de rougir du bilan de la majorité. « On a fait le job. Je n'ai pas de scrupules et je n'ai pas d'hésitations à le dire », poursuit-elle. Tout en considérant que la crise sanitaire a « posé un certain nombre de questions sur la table ».

 

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Florent Mathieu

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