FLASH INFO – EVA (Esports Virtual Arenas) ouvre, à par­tir de ce lundi 12 décembre 2022, une salle de esport en réa­lité vir­tuelle à Fontaine, sa pre­mière en Isère. Le concept ? Les joueurs, munis d’un casque de réa­lité vir­tuelle, d’une arme connec­tée et d’un ordi­na­teur en sac à dos, s’af­frontent dans une arène de 500 m². Et ce, sur les trois jeux vidéo exclu­sifs déve­lop­pés par la marque, qui sou­haite ainsi pro­po­ser un concept nova­teur dans une agglo­mé­ra­tion gre­no­bloise où la concur­rence est déjà vive.

Avis aux gamers. Déjà pré­sente dans quinze villes à tra­vers l’Hexagone, EVA (Esports Virtual Arenas), lea­der mon­dial du esport en réa­lité vir­tuelle, débarque dans l’ag­glo­mé­ra­tion gre­no­bloise. La start-up fran­çaise ouvre ainsi, ce lundi 12 décembre 2022, sa pre­mière salle en Isère – la seconde en Auvergne-Rhône-Alpes -, plus pré­ci­sé­ment à Fontaine¹3 rue Baptiste Marcet.

Les joueurs sont tous munis d’un casque de réa­lité vir­tuelle, d’un ordi­na­teur en sac à dos et d’un fusil à pompe connecté. © EVA

Si le esport compte aujourd’­hui de plus en plus d’a­deptes, la dis­ci­pline peine encore à se faire recon­naître comme un vrai sport, du fait de la séden­ta­rité asso­ciée à la pra­tique. D’où le concept pro­posé par EVA, qui allie le jeu vidéo et une réelle dépense phy­sique, avec sa tech­no­lo­gie bap­ti­sée « free roa­ming ».

Des matchs par équipes en se dépla­çant libre­ment dans une arène de 500 m²

Équipés d’un casque VR (réa­lité vir­tuelle), d’un ordi­na­teur en sac à dos et d’un fusil à pompe connecté, les joueurs s’af­frontent ainsi en se dépla­çant libre­ment au sein d’une arène de 500 m², « plon­gés dans un monde futu­riste et inédit pour des duels, de l’ac­tion, de la stra­té­gie ». L’idée est de « ren­trer dans un jeu vidéo », explique la société.

Les gamers s’af­frontent dans des matchs par équipes en se dépla­çant libre­ment dans une arène de 500 m². © EVA

Dans le nou­veau com­plexe de 800 m² de Fontaine, les gamers se défie­ront par équipes (jus­qu’à 10 joueurs simul­ta­nés) sur des jeux exclu­sifs déve­lop­pés par la marque. Trois FPS (jeux de tir) au choix : After‑H Zombies, After‑H Legend of Mars et sur­tout After‑H Battle Arena, le jeu phare d’EVA, qui a néces­sité trois ans de déve­lop­pe­ment et pro­pose des com­bats dans un uni­vers post-apocalyptique.

After‑H Battle Arena, le jeu phare de la marque et l’un des trois FPS (jeux de tir) pro­po­sés par EVA dans ses salles de esport en réa­lité vir­tuelle. © EVA

« Toutes nos arènes sont équi­pées d’un dis­po­si­tif pour suivre les par­ties en cours et les com­pé­ti­tions orga­ni­sées », pré­cise la start-up. Dans un sec­teur très concur­ren­tiel – déjà plu­sieurs salles VR à Grenoble, mais aussi à Seyssins -, EVA s’ap­puie sur son « concept nova­teur » pour pour­suivre son expan­sion en France, où elle vise les 100 salles d’ici 2025, ainsi qu’à l’in­ter­na­tio­nal. Côté tarifs, la ses­sion de 40 minutes revient à 19 euros par personne.