L’ancien maire de Grenoble sort de son silence, observé depuis mardi soir. Durant l’interminable soirée du 15 octobre, la plupart les figures de l’UMP iséroise se sont en effet exprimées, à l’exception notable d’Alain Carignon.
Pour mémoire, lors de celle-ci, Jean-Claude Peyrin, président de la fédération UMP de l’Isère, a annoncé que l’investiture avait été retirée à Matthieu Chamussy. Avant que celui-ci ne démente deux heures plus tard. Le silence est désormais rompu par l’ancien maire de Grenoble. Celui-ci a en effet pris la parole ce 17 octobre, en évitant les sujets qui fâchent…
Ce n’est pas un Alain Carignon revanchard qui s’est exprimé aujourd’hui, mais au contraire un homme qui cherche à « être utile ». « Je suis prêt à être candidat à la place que la CNI (ndlr : Commission nationale d’investiture) décidera » a ainsi déclaré ce dernier.
Cette place lui sera attribuée d’ici un mois, lorsque la CNI de l’UMP aura validé une nouvelle liste.
Car il y aura bel et bien une nouvelle liste. « Nous n’avons pas eu le temps d’aborder le cas de Grenoble mardi soir » a déclaré Alain Carignon, lui-même membre de la commission d’investiture. « Sachant qu’il s’agissait d’un sujet difficile, nous avons préféré en discuter à tête reposée. Pour autant, je sais qu’il n’y a plus d’investiture officielle » a‑t-il expliqué.
Sûr de la victoire de la droite en mars prochain, l’ancien ministre de l’Environnement ne semble pas inquiet de l’image véhiculée par le feuilleton UMP : « Je suis convaincu que si les Grenoblois voient une équipe soudée d’ici quelques semaines, les turbulences d’aujourd’hui seront oubliées ». Pas certain pourtant que les Grenoblois oublient aussi vite… A lire aussi sur Place Gre’net : UMP38 : le feuilleton continue Matthieu Chamussy : « Je ne suis pas un candidat sous tutelle »
Ce n’est pas un Alain Carignon revanchard qui s’est exprimé aujourd’hui, mais au contraire un homme qui cherche à « être utile ». « Je suis prêt à être candidat à la place que la CNI (ndlr : Commission nationale d’investiture) décidera » a ainsi déclaré ce dernier.
Cette place lui sera attribuée d’ici un mois, lorsque la CNI de l’UMP aura validé une nouvelle liste.
Car il y aura bel et bien une nouvelle liste. « Nous n’avons pas eu le temps d’aborder le cas de Grenoble mardi soir » a déclaré Alain Carignon, lui-même membre de la commission d’investiture. « Sachant qu’il s’agissait d’un sujet difficile, nous avons préféré en discuter à tête reposée. Pour autant, je sais qu’il n’y a plus d’investiture officielle » a‑t-il expliqué.Sûr de la victoire de la droite en mars prochain, l’ancien ministre de l’Environnement ne semble pas inquiet de l’image véhiculée par le feuilleton UMP : « Je suis convaincu que si les Grenoblois voient une équipe soudée d’ici quelques semaines, les turbulences d’aujourd’hui seront oubliées ». Pas certain pourtant que les Grenoblois oublient aussi vite… A lire aussi sur Place Gre’net : UMP38 : le feuilleton continue Matthieu Chamussy : « Je ne suis pas un candidat sous tutelle »
