FOCUS — Drôle d’année 2020 et de début d’année 2021 pour Actis. Le bailleur social grenoblois dresse le bilan de douze mois de crise sanitaire et sociale et présente ses perspectives pour l’année en cours. Non sans déplorer un nombre de constructions « en berne ». Quant aux polémiques autour de l’immeuble occupé de l’Abbaye et aux difficultés rencontrées par la Papothèque, elles pèseraient sur le moral des équipes.
Quels bilan et perspectives pour Actis ? Le bailleur social grenoblois a tiré, le vendredi 5 février dernier, les enseignements d’une année pas comme les autres dans l’appartement de l’immeuble flambant neuf Le Grand Air, situé au 60 avenue Jean-Perrot. L’occasion de découvrir en avant-première des logements que les locataires devaient investir le lundi suivant.
Le Grand Air, un immeuble flambant neuf d’Actis le long de l’avenue Jean-Perrot à Grenoble. © Florent Mathieu – Place Gre’net
Une année 2020 pas comme les autres à plusieurs titres. À commencer par la crise sanitaire. Si les périodes de confinement n’ont pas entraîné d’annulations des constructions, elles ont en effet causé des retards et reports. Entre constructions et acquisitions, Actis dénombre toutefois 70 logements supplémentaires dans son parc et 85 réhabilitations d’appartements, dont la majorité Galerie de l’Arlequin.
« Le nombre de constructions est en berne »
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