FIL INFO – Sciences Po Grenoble ouvre, pour la rentrée 2020, un parcours “Transitions écologiques” de niveau master. Une formation qui promet de se pencher sur les enjeux écologiques, économiques et sociaux pour répondre à la crise actuelle sans précédent. Avec la volonté de « faire de l’institut un lieu de réflexion et formation de haut niveau sur ces enjeux ».
“Transitions écologiques”. Un vaste programme pour cette formation initiale qui ouvre à Sciences Po Grenoble.
L’objectif ? Permettre aux étudiants d’acquérir des compétences, « scientifiques », « organisationnelles » ou encore « démocratiques ». De quoi mieux appréhender la transition écologique de demain pour répondre « au mieux aux défis auxquels les crises écologiques vont soumettre nos sociétés ».
Une formation sur deux ans équivalente à un niveau master
« Ce parcours vise à la diffusion et à la maîtrise des outils et concepts juridiques, économiques, politiques, sociologiques et philosophiques qui permettent de penser et d’accompagner la transition », indiquent ses responsables pédagogiques.
Les étudiants assisteront à des cours de sciences sociales, mais aussi de sciences naturelles et physiques, essentielles pour comprendre la totalité des enjeux de la transition. La formation, équivalente à un niveau master, dure deux ans.
La formation, équivalente à un master, dure deux ans. La première année traite essentiellement des « enjeux concrets de la transition écologique ». La seconde est « centrée sur les enjeux transversaux des politiques environnementales ».
Une formation « s’inscrivant dans l’esprit » de Sciences Po
Le parcours innovant Transitions écologiques s’inscrit dans la lignée des formations pluridisciplinaires dispensées par Sciences Po. Son ambition est de préparer les étudiants à leur avenir professionnel et de leur offrir des débouchés nombreux et divers.
Ils pourront ainsi par la suite exercer, tant dans le public que le privé. Que ce soit des métiers dans « la conception et la mise en œuvre de démarches de transitions, dans la conception et l’animation de démarches de concertation et de démocratie locale, dans la gestion des ressources et milieux naturels ». Mais, dans ce secteur en pleine mutation, la plupart des métiers de demain restent encore à inventer.
Lise Gaeta