L’ÉQUIPE DE PLACE GRE’NET

Muriel Beaudoing, direc­trice de publi­ca­tion et rédac­trice en chef

« Titulaire d’un DEA en Économie inter­na­tio­nale et d’un Deug en langue, culture et civi­li­sa­tion russes obte­nus à Grenoble, ainsi que d’un DUT de l’é­cole publique de jour­na­lisme de Tours, j’exerce comme jour­na­liste pro­fes­sion­nelle depuis 1998.

Après trois ans pas­sés au sein de la rédac­tion pari­sienne du maga­zine Tribune Santé, dont je suis deve­nue rédac­trice en chef adjointe, je me suis ins­tal­lée comme jour­na­liste indé­pen­dante à Grenoble en 2001. J’ai alors col­la­boré à de nom­breux titres : Alternatives éco­no­miques, Courrier Cadres, Acteurs de l’Économie, Montagnes maga­zine, Alpes maga­zine, Forêts maga­zine, Les quatre sai­sons du jar­din bio, Capital, l’Usine nou­velle, L’Express, La Tribune et latri​bune​.fr

Puis, confron­tée à la dété­rio­ra­tion des condi­tions de tra­vail dans la pro­fes­sion et à l’ap­pau­vris­se­ment des sujets trai­tés, j’ai décidé de créer un média indé­pen­dant à Grenoble pour infor­mer en toute liberté et contri­buer à la vie démo­cra­tique locale. Après des for­ma­tions au pho­to­jour­na­lisme au CFPJ et au jour­na­lisme mul­ti­mé­dia au CFPJ et à l’IPJ, j’ai pu lan­cer en 2013 avec Paul Turenne le jour­nal en ligne pla​ce​gre​net​.fr, dont j’as­sure la rédac­tion en chef.

J’ai, par ailleurs, ensei­gné le jour­na­lisme de 2011 à 2015, à Sciences Po Grenoble, à l’École de Journalisme de Grenoble, deux écoles qui ont fusionné en 2014, puis à l’Institut supé­rieur des médias de Lyon (ISCPA). »

Paul Turenne, cofon­da­teur et res­pon­sable admi­nis­tra­tif et financier

« Passionné par les ques­tions envi­ron­ne­men­tales, j’ai suivi un cur­sus scien­ti­fique dans le domaine de l’eau, com­plété par une for­ma­tion de trois ans à l’Institut des Médias de Lyon (ISCPA). J’ai ensuite mul­ti­plié les expé­riences jour­na­lis­tiques, que ce soit sur Internet, en radio ou en presse écrite, en abor­dant des thé­ma­tiques aussi diverses que l’im­mo­bi­lier, l’é­co­no­mie, l’en­vi­ron­ne­ment, le social ou l’in­tel­li­gence économique.

Après avoir tra­vaillé un an et demi pour l’é­di­tion gre­no­bloise du quo­ti­dien 20 minutes, et col­la­boré au maga­zine Acteurs de l’Économie et à latri​bune​.fr, j’ai conti­nué de rédi­ger régu­liè­re­ment des articles et des dos­siers pour Les IRC, men­suel spé­cia­lisé dans l’immobilier.

Ayant tou­jours gardé un œil affûté sur l’ac­tua­lité de l’ag­glo­mé­ra­tion, j’ai par­ti­cipé avec Muriel Beaudoing à la construc­tion du pro­jet Place Gre’net, depuis les pré­mices jus­qu’à l’é­clo­sion du site. Je me consacre désor­mais à sa gestion. »

Joël Kermabon, jour­na­liste repor­ter d’images

« Après un début de car­rière dans la Marine natio­nale en qua­lité de spé­cia­liste de la détec­tion ultra-sonore, je me suis recon­verti dans les tech­no­lo­gies de l’information. En tant qu’in­gé­nieur-chef de pro­jet, j’ai tra­vaillé dans ce sec­teur pen­dant plu­sieurs années.

Passionné par la vidéo et le repor­tage, ce qui était au départ un hobby l’a emporté sur mon goût pour l’in­for­ma­tique. J’ai alors décidé de chan­ger de vie et de mon­ter ma propre struc­ture de vidéaste indé­pen­dant. J’ai réa­lisé pour une clien­tèle pri­vée un cer­tain nombre de vidéos sur des sujets variés.

Ma pré­fé­rence pour le repor­tage et la cap­ta­tion d’événements s’affirmant, de même que le plai­sir d’écrire, ma ren­contre avec les fon­da­teurs de Place Gre’net a été déter­mi­nante en me don­nant l’oc­ca­sion d’é­lar­gir mes com­pé­tences vers le vidéo-jour­na­lisme. Lorsqu’ils m’ont pro­posé de rejoindre l’équipe comme vidéaste-rédac­teur, j’ai accepté avec enthou­siasme cette nou­velle orien­ta­tion, pour par­ti­ci­per à une véri­table aven­ture humaine dou­blée d’un chal­lenge pas­sion­nant : infor­mer au sein d’un organe de presse indépendant. »

Florent Mathieu, journaliste

« Titulaire d’un doc­to­rat de Lettres, pra­ti­quant l’é­cri­ture depuis mes plus jeunes années, j’ai tou­jours éprouvé le désir de par­ta­ger ou de faire connaître l’ob­jet de mes nom­breuses pas­sions, qu’il s’a­gisse de la lit­té­ra­ture, du cinéma, des jeux vidéos et autres centres d’in­té­rêt qui font très pro­ba­ble­ment de moi ce que l’on appelle un “geek”. C’est pour­quoi j’ai inté­gré avec plai­sir l’espace blog de Place Gre’net pour y consa­crer des billets liés à cette « sous-culture » qui tend pour­tant à deve­nir domi­nante, ainsi qu’à toutes les pré­oc­cu­pa­tions (cultu­relles, sociales ou poli­tiques) qu’elle sou­lève, qu’elle défend ou – peut-être – qu’elle provoque.

Outre cette acti­vité de blo­gueur, j’ai tra­vaillé durant deux ans comme jour­na­liste pour Le Bon Plan, site d’in­for­ma­tion et d’ex­pres­sion des allo­ca­taires du RSA de Grenoble et de l’ag­glo­mé­ra­tion gre­no­bloise. L’occasion pour moi de trai­ter de l’ac­tua­lité sociale, tant sur le plan local que natio­nal, thé­ma­tique de pré­di­lec­tion du site qui se veut le relais objec­tif de la parole des pré­caires. La vie sociale d’une muni­ci­pa­lité, d’une région ou d’un pays étant à mes yeux l’un des socles pri­mor­diaux du vivre-ensemble, à tra­vers l’ac­tion asso­cia­tive, le mili­tan­tisme citoyen ou les poli­tiques d’ar­bi­trage, j’ai suivi et conti­nue­rai à suivre avec engoue­ment cette actua­lité trop sou­vent sur­vo­lée – faute de temps, et peut-être d’au­dience – par la plu­part des médias généralistes. »

Séverine Cattiaux, journaliste

« Journaliste depuis une ving­taine d’années pour dif­fé­rents sup­ports natio­naux de presse spé­cia­li­sée et mul­ti­mé­dia (La Gazette des com­munes, Traits urbains, La Lettre du cadre, EmploiPublic​.fr, etc.), j’ai croisé la route de Place Gre’net et me suis embar­quée avec joie dans cette aven­ture humaine et inédite à Grenoble. Journaliste géné­ra­liste, presque tout ter­rain, je creuse, de par mes col­la­bo­ra­tions, cer­tains sillons plus que d’autres, tels que les pro­blé­ma­tiques des col­lec­ti­vi­tés locales, l’ur­ba­nisme, la démo­cra­tie locale, l’en­vi­ron­ne­ment, le social, la santé, l’é­co­no­mie et l’emploi. J’en oublie probablement…

Un petit coup d’œil dans le rétro­vi­seur pour évo­quer ma for­ma­tion ini­tiale ? Au siècle der­nier, je décroche un Bac C à Cambrai (copies scien­ti­fiques non garan­ties sans bêtises). À Lille, mes culottes courtes se posent sur les bancs d’une hypo­khâgne puis d’une khâgne, non sans hâte bien sou­vent que sonne la récré. S’ensuit peu après l’ob­ten­tion d’une maî­trise de lettres modernes décro­chée à Chambéry – l’ap­pel des mon­tagnes déjà. Retour en terre froide mais pas hos­tile, à Nancy, où je décroche un DESS d’in­for­ma­tion et com­mu­ni­ca­tion des entre­prises et organisations.

Plus récem­ment, au début du XXIe siècle, j’ob­tiens le titre de « Responsable de struc­ture d’économie sociale et soli­daire » au centre de for­ma­tion Arobase, tam­ponné à Grenoble, bien mérité après deux ans en alter­nance. Un plan B au cas où le jour­na­lisme dis­pa­raî­trait de la sur­face du globe, avec les ours polaires ? Gageons que cela n’ar­rive jamais. Place Gre’net (et d’autres, bien sûr) y veille… »

Manuel Pavard, journaliste

Pourquoi le jour­na­lisme ? Pour l’é­cri­ture déjà. J’ai tou­jours aimé manier la langue fran­çaise, un virus qui m’a conta­miné très tôt. Ensuite pour racon­ter, témoi­gner, me culti­ver, dévoi­ler, dénon­cer. Enfin pour faire décou­vrir mes pas­sions et centres d’in­té­rêt : musiques élec­tro­niques, cultures alter­na­tives, foot­ball, poli­tique, voyages, his­toire contem­po­raine, actua­lité sociale…

Quid de mon par­cours ? Après des études d’his­toire dans ma Bretagne natale, puis un DUT de jour­na­lisme à l’Institut de jour­na­lisme Bordeaux Aquitaine en 2002 – 2003 (année spé­ciale, spé­cia­lité presse écrite), j’ai fait mes armes dans la PQR, à Ouest-France et au Télégramme. Les hasards de la vie et du cœur m’ont ensuite mené à Grenoble, en 2005, où j’ai d’abord tra­vaillé comme pigiste pour dif­fé­rents maga­zines (Africa International, Objectif Photos, L’Oeil du Patrimoine, Spot, L’Alternatif…), tout en cumu­lant avec d’autres jobs plus « ali­men­taires » (aide-docu­men­ta­liste, assis­tant d’é­du­ca­tion). Puis, j’ai été embau­ché en 2010 pour le lan­ce­ment de 20 Minutes Grenoble où j’ai cou­vert l’ac­tua­lité locale durant quatre ans, avant de subir un licen­cie­ment éco­no­mique. Par la suite, j’ai été engagé en 2015 au jour­nal sati­rique Le Postillon où j’é­cri­vais déjà comme béné­vole aupa­ra­vant. L’occasion de réa­li­ser repor­tages d’in­ves­ti­ga­tion et enquêtes, mais aussi de par­ti­ci­per à la concep­tion du jour­nal de A à Z. C’est éga­le­ment à cette période que j’ai com­mencé à col­la­bo­rer à Place Gre’net, ini­tia­le­ment en tant pigiste, à par­tir de fin 2016.

Et main­te­nant ? Reparti à Rennes, début 2019, pour rejoindre de nou­veau 20 Minutes, pour lequel j’ai tra­vaillé un peu par­tout en France, un heu­reux hasard m’a per­mis de reprendre contact avec Place Gre’net, qui cher­chait jus­te­ment un jour­na­liste en 2021. Quelques semaines plus tard, je débu­tais mon CDI.

Pourquoi à Place Gre’net ? L’envie de pour­suivre dans la presse web m’a séduit, tout comme la pos­si­bi­lité d’écrire des articles fouillés et variés, ainsi que de tra­vailler pour un site réel­le­ment indé­pen­dant, qui apporte un regard neuf et décalé sur l’ac­tua­lité gre­no­bloise. Un vrai luxe à l’heure où un nombre crois­sant de médias sont déte­nus par de grands groupes industriels.

Martin de Kerimel, journaliste

La pra­tique du jour­na­lisme ? Je l’ai décou­verte en 1997, lorsque j’é­tais encore étu­diant. J’avais envie d’in­té­grer un ser­vice juri­dique ou RH, mais Paris-Normandie, le quo­ti­dien que j’a­vais contacté pour poser ma can­di­da­ture, n’en avait pas. Un res­pon­sable édi­to­rial m’a­vait cepen­dant pro­posé de deve­nir l’un des cor­res­pon­dants locaux du jour­nal. J’ai ainsi fait mes pre­miers pas dans la presse, un 1er avril. Sans blague…

25 ans plus tard, c’est avec pas­sion que j’exerce tou­jours ce beau métier de jour­na­liste loca­lier. Adepte d’une ciné­phi­lie par­ta­geuse, je me suis beau­coup orienté vers la culture ces der­nières années, avide de sai­sir chaque occa­sion de mieux faire connaître tout ce qui peut nous faire vibrer du point de vue artistique.

Mes centres d’in­té­rêt sont tou­te­fois mul­tiples et je sou­haite mettre ma poly­va­lence au ser­vice de tous pour décryp­ter l’ac­tua­lité dans toutes ses dimen­sions, en me tenant au plus proche du ter­rain. C’est ce que j’ai fait à Monaco et dans les Alpes-Maritimes, après avoir obtenu une maî­trise en droit inter­na­tio­nal des affaires et le diplôme de l’é­cole de jour­na­lisme de Nice. Et c’est ce que je fais tou­jours depuis octobre 2019, date de mon arri­vée en Isère.

Indépendant et curieux, je garde un très bon sou­ve­nir de mes débuts de repor­ter dans l’ag­glo­mé­ra­tion gre­no­bloise et le dépar­te­ment, au Petit Bulletin, d’a­bord, puis au Dauphiné Libéré. Place Gre’net me per­met aujourd’­hui de pour­suivre cette très riche aven­ture pro­fes­sion­nelle. Mon goût de la ren­contre guide évi­dem­ment ma plume vers de nou­veaux échanges. J’aimerais donc dire à nos lec­teurs ce que je ne cesse de répé­ter à mes amis : à bientôt !

Laure Gicquel, journaliste

Docteure en sciences poli­tiques, spé­cia­li­sée dans les poli­tiques publiques de lutte contre les dérives sec­taires, j’ai, au cours de mon (trop long) par­cours uni­ver­si­taire, étu­dié divers domaines, notam­ment le droit, la phy­sique (licences), et la bio­lo­gie (mas­ter). Par ailleurs, je suis pas­sion­née par la robo­tique, l’aéronautique et les sports de montagne.

J’ai eu la chance, dès ma sor­tie de thèse, d’intégrer l’équipe de Place Gre’net qui me per­met de conci­lier mes pas­sions, tout par­ti­cu­liè­re­ment pour les ques­tions poli­tiques et les sciences appli­quées, en écri­vant sur des sujets très variés. 
Forte d’une expé­rience pro­fes­sion­nelle entre­pre­neu­riale, notam­ment en star­tup tech, j’ai éga­le­ment un réel inté­rêt pour l’écosystème gre­no­blois que je suis dans ses aspects aussi bien éco­no­miques que scientifiques.

Jeremy Hollett, chargé de développement

“Titulaire d’un diplôme d’études supé­rieures en mana­ge­ment de l’innovation, j’ai tra­vaillé pen­dant 25 ans dans les tech­no­lo­gies de l’information et de la com­mu­ni­ca­tion. J’ai cofondé en 2000 la société Neptune IS, deve­nue lea­der de l’accès public à l’Internet en WiFi dans les grandes zones tou­ris­tiques du sud de la France.

Passionné par les inno­va­tions tech­no­lo­giques dans le domaine du numé­rique et leurs impacts socié­taux, je par­ti­cipe au déve­lop­pe­ment éco­no­mique de star­tups de l’écosystème gre­no­blois. Rejoindre l’aventure de Place Gre’net répond à mes aspi­ra­tions dans le domaine de la presse en ligne, mais aussi à mes convic­tions que ces tech­no­lo­gies dis­rup­tives doivent avant tout rendre ser­vice aux citoyens.

Ces nou­veaux outils offrent en effet la pos­si­bi­lité de pro­po­ser une infor­ma­tion non par­ti­sane et indé­pen­dante aux habi­tants de Grenoble et sa région, de les impli­quer et ainsi de faire vivre la démo­cra­tie locale.”

ILS ONT AUSSI CONTRIBUÉ À PLACE GRE’NET :

Véronique Magnin, Laurent Genin, Tim Buisson, Patricia Cerinsek, Emma Venancie, Julie Callendret, Thomas Courtade, Manon Heckmann, Alice Colmart, Sacha Belhassen, Emma Garnier, Nawel Gouffa-Folliet, Nina Soudre, Pauline Defélix, Adèle Duminy, Sacha Magnani, Giovanna Crippa, Yuliya Ruzhechka, Maïlys Medjadj, Thibaut Ghironi, Mélody Chalvin, Anaïs Mariotti, Corentin Libert, Yann Socquet, Alexandra Moullec, Brigitte Luttiau, Julien Deschamps, Marion Gueydan, Cassandre Jalliffier, Delphine Chappaz, Catherine Michal, Élodie Rummelhard, Ludovic Chataing, Victor Guilbert, Camille Clémot, Nils Louna, Valentin Aigrault, Jean-Baptiste Auduc, Chloé Ponset, Audrey Le Bail, Sandra Bailly, Valentin Dizier, Xavier Bonnehorgne, Géraldine Russell, Émeline Wuilbercq et Marie Lyan.