FLASH INFO – Le Département de l’Isère et la Ville de Pont-en-Royans annoncent la fermeture en journée des deux routes départementales RD531 et RD518, en amont du centre-bourg de Pont-en-Royans. Les travaux de sécurisation, faisant suite à l’éboulement survenu le 30 août 2023, ont débuté ou plutôt repris le 20 novembre.
La RD 518 rouverte côté Drôme dans les Petits Goulets
Après près de deux mois de fermeture, le Département de la Drôme ont rouvert à la circulation le mercredi 29 novembre, à 15 heures, la RD 518 située entre Sainte-Eulalie-en-Royans et Echevis, avant la date programmée. (Article mis à jour le 30 novembre)
« Face à un risque très élevé de chutes de blocs, le Département et la commune de Pont-en-Royans avaient conclu à la nécessité d’engager un projet de sécurisation pérenne pour les usagers et les riverains des RD531 et RD518″, expliquent les deux collectivités. Des travaux qui avait du être interrompus fin octobre, après un « nouvel événement ». Depuis le 20 novembre, les niveaux et le périmètre de sécurité des travaux ont ainsi été rehaussés.
Les deux routes départementales RD531 et RD518 en amont du centre-bourg de Pont-en-Royans sont fermées à la circulation en journée depuis le 20 novembre et jusqu’à la fin de l’année 2023 (dans le meilleur des cas). © Département de l’Isère
Conséquence ? « Les deux routes départementales seront entièrement fermées à la circulation durant les travaux, en semaine, de 8 h 15 à 16 h 45 (du lundi au vendredi) et les week-ends de 8 heures à 17 heures ». La circulation sera possible en-dehors de ces horaires. Quant aux transports scolaires, ceux-ci pourront passer « sous la surveillance d’une vigie », y compris le mercredi après-midi, décrit le Département.
À noter également qu’une dizaine d’habitations situées dans le périmètre de sécurité des travaux ont dû être évacuées. Les deux collectivités tablent sur une fin du chantier de sécurisation pour la fin de l’année 2023, « sous réserve d’éventuels aléas ». Assurant de son souci de « réduire la durée de ce chantier, et ainsi la gêne occasionnée aux habitants et aux usagers de la route », elles n’en appellent pas moins ces derniers « à adapter leur comportement et à modérer leur vitesse aux abords du chantier ».
