FLASH INFO – Quatre nouveaux ambassadeurs nommés par le syndicat des vins de l’Isère en ce début d’été 2022 vont s’attacher à mettre en lumière les cépages locaux. Ils rejoignent les deux premiers ambassadeurs cavistes. Leur objectif commun : travailler à valoriser les productions et les terroirs.
Le syndicat des vins de l’Isère a révélé les noms des nouveaux ambassadeurs des vins de l’Isère, le 4 juillet 2022 : Joël Féraud du Tonneau gourmand à Crolles et Eddy Béranger de La Rencontre du vin à Grenoble, tous deux ambassadeurs “cavistes”, Gérard Borel de La Corne d’Or à Corenc, ambassadeur “restaurateur”, et Bérengère Duc (@berrywine38), ambassadrice “influenceuse”.
De quoi agrandir ce réseau créé en 2021 autour de deux ambassadeurs cavistes, Enora Le Roy et Eric Esnault. Le syndicat des vins de l’Isère qui promeut l’indication géographique protégée (IGP) Isère avait alors mis au point une charte, « en concertation avec des professionnels du vin ». Ce afin de « créer et développer un réseau des ambassadeurs et ambassadrices. »
Mettre en valeur les richesses locales et les terroirs
Le principe ? Chacun des ambassadeurs s’engage à « promouvoir les valeurs et les qualités des vins de l’Isère. » En contrepartie, les vignerons membres du syndicat promettent de promouvoir leurs établissements. Des engagements inscrits dans une charte pour trois ans.
Cas concret d’engagement détaillé dans la charte : « Le caviste devra proposer à ses clients un panel d’au moins 6 références de vin de l’IGP “Isère”, venant d’au moins trois domaines différents et de territoires différents ». En échange, le syndicat « s’engage […] à transmettre la liste des domaines produisant du vin sous IGP “Isère” pour compléter sa gamme », etc. Le syndicat espère ainsi attirer un maximum de partenaires afin de construire un réseau au service du patrimoine viticole local.
L’IGP Isère : un territoire de 60 ha
« L’IGP Isère revendiquée par une vingtaine de domaines viticoles s’étend aujourd’hui sur 60 ha répartis dans toute l’Isère, des Balmes dauphinoises au Trièves, en passant par les coteaux du Grésivaudan, le Voironnais, le Roussillonnais ou encore la Bièvre – Chambaran », rappelle le syndicat.