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Rassemblement contre la guerre en Ukraine à Grenoble, le 26 février 2022. © Joël Kermabon - Place Gre'net

Grenoble : entre 650 et 1 000 per­sonnes ont mani­festé leur sou­tien à l’Ukraine et dénoncé l’in­va­sion « cri­mi­nelle » de Vladimir Poutine

Grenoble : entre 650 et 1 000 per­sonnes ont mani­festé leur sou­tien à l’Ukraine et dénoncé l’in­va­sion « cri­mi­nelle » de Vladimir Poutine

REPORTAGE VIDÉO - Entre 650 et 1 000 personnes se sont rassemblées rue Félix-Poulat ce samedi 26 février 2022 à 15 heures à Grenoble en soutien au peuple ukrainien. Elles répondaient ainsi à un appel de l'antenne iséroise du Mouvement de la Paix militant pour que les mobilisations contre la guerre en Ukraine se développent partout en France. Les attendaient sur place de nombreux représentants de la diaspora ukrainienne qui organisaient simultanément un rassemblement contre l'invasion jugée « criminelle » de Vladimir Poutine.

Entre 6503Chiffre de la police. et 1 000 personnes4Selon les organisateurs ont participé à un rassemblement contre la guerre en Ukraine, ce samedi 26 février 2022 rue Félix-Poulat à Grenoble. Toutes répondaient à un appel lancé par le comité départemental de l’Isère du Mouvement de la Paix, après le déclenchement de l'invasion de l'Ukraine par les troupes de Vladimir Poutine, le président de la Russie. Également sur place, de nombreux représentants de la diaspora ukrainienne dont tout un groupe d'étudiantes, pour certaines drapées de l’emblème bicolore national de leur pays.

La diaspora ukrainienne grenobloise est venue avec une carte et des photos de l'invasion de l'Ukraine. © Joël Kermabon - Place Gre'net grenobloise montre une carte et des photos de l'invasion de l'Ukraine. © Joël Kermabon - Place Gre'net

La diaspora ukrainienne grenobloise est venue avec une carte et des photos de l'invasion de l'Ukraine. © Joël Kermabon - Place Gre'net

Au-dessus de la foule, outre les drapeaux de l'Ukraine, de l'Europe et de la Géorgie, de nombreuses pancartes brandies à bout de bras dénonçaient l'agression russe. « Il n'y a pas de purgatoire pour les criminels de guerre », « Envoyez l'Otan en Ukraine, sauvez l'Ukraine, sauvez l'Europe ! » ou encore « Stop au bombardement de l'Ukraine ! », pouvait-on lire sur quelques-unes d'entre elles.

D'autres comparaient Vladimir Poutine à Hitler tandis qu'une jeune Russe tenait une pancarte mentionnant humblement « Je suis Russe, j'ai honte ». Posée sur le sol devant les jeunes étudiantes ukrainiennes, une enceinte sans fil diffusait l'hymne national de leur pays, repris à tue-tête par plusieurs de leurs compatriotes présents dans la foule.

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Joël Kermabon

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