FLASH INFO – Une déam­bu­la­tion à vélo dans les rues de Meylan, La Tronche et Corenc se tien­dra le samedi 29 mai 2021, à par­tir de 10 heures. L’objectif ? Promouvoir la mobi­lité active tout en par­ta­geant un moment de convi­via­lité entre habi­tants de dif­fé­rentes communes.

Affiche de la vélo’­pa­rade pré­vue samedi 29 mai 2021, à Meylan, La Tronche et Corenc. © Yann Mabilon – Mapple

L’évè­ne­ment cycliste est une ini­tia­tive du col­lec­tif Corenc Verts et Solidaires, en par­te­na­riat avec l’association Tronch’Lucide et l’Union de quar­tiers Buclos Grand-Pré. Les vélos seront ainsi mis à l’honneur, samedi 29 mai 2021, à Meylan, La Tronche et Corenc.

Les par­ti­ci­pants par­ti­ront à 10 heures de la mai­rie de Meylan, puis déam­bu­le­ront dans les rues des trois com­munes avant un pique-nique convi­vial dans le parc de la Croix de Montfleury, à Corenc. Le tout accom­pa­gné d’animations musicales.

Le but de cette vélo’parade est de pro­mou­voir la mobi­lité active mais aussi d’échanger des infor­ma­tions sur les pistes cyclables de l’ag­glo­mé­ra­tion et de par­ta­ger un moment de convi­via­lité entre habi­tants de com­munes voisines.

La vélo’­pa­rade : une évé­ne­ment fes­tif ins­piré des vélorutions

« On espère ras­sem­bler beau­coup de monde, notam­ment des familles », confie Christophe Brumelot, membre du col­lec­tif Corenc Verts et Solidaires. Né en 2020 à la suite des élec­tions muni­ci­pales, le col­lec­tif coren­çais s’intéresse à dif­fé­rents sujets comme la 5G, l’accueil des migrants ou encore la bio­di­ver­sité. La mobi­lité douce est éga­le­ment au cœur de ses préoccupations.

Manifestation à vélo, juin 2020. © Léo Aguesse – Place Gre’net

Déjà repous­sée à plu­sieurs reprises en rai­son des confi­ne­ments suc­ces­sifs, la vélo’parade du 29 mai est ins­pi­rée des vélo­ru­tions orga­ni­sées notam­ment par l’association Un p’tit vélo dans la tête. Le for­mat se veut cepen­dant plus fes­tif que reven­di­ca­tif. Même si, pour Christophe Brumelot, cette fête du vélo sera aussi l’oc­ca­sion de gagner en visi­bi­lité. « On peut encore lar­ge­ment amé­lio­rer la cir­cu­la­tion des vélos dans l’agglomération », estime-t-il.

JC