FOCUS – Concernant les horaires et son projet artistique, le collectif La Supérette doit revoir sa copie, dixit la Ville de Grenoble. Autre déception pour lui : les trois autres tutelles – la Drac, la Région et le Département – du centre national d’art et de culture de Grenoble (Cnac) n'ont toujours pas réagi à sa proposition de convention. De quoi déconcerter le collectif qui déploie, depuis trois semaines, une programmation artistique devant les portes du Magasin, faute de pouvoir y entrer.
La rencontre du mardi 4 mai, entre le collectif La Supérette et la présidente du conseil d’administration du Magasin Anne-Marie Charbonneaux s’est tenue en public, devant le Magasin.
C'est ainsi que La Supérette souhaite que se tiennent ses rendez-vous officiels. « Cela aussi relève de notre démarche artistique », commente l'une des participantes du collectif.
La rencontre était, du reste, très attendue par le collectif. Qui espérait connaître enfin l'avis des tutelles, par l'entremise d'Anne-Marie Charbonneaux, sur la convention de résidence d’artistes, que le collectif a rédigée et transmise, le 27 avril dernier.
Le projet artistique de La Supérette se penche sur la gouvernance du Magasin
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