FOCUS – La Belle électrique déchaîne les passions à Grenoble. Plus précisément, la décision de la Ville de casser la procédure de renouvellement de délégation de service public à l'association Mixlab, jusque-là gestionnaire de la salle. Un changement d'orientation qui indigne l'ensemble des élus d'opposition et suscite un tardif dialogue… de sourds.
C'est aux alentours de 22 h 30, lundi 14 décembre, lors du conseil municipal de Grenoble, que les élus ont dû se prononcer sur la délibération déclarant infructueuse la procédure de renouvellement de la délégation de service public (DSP) pour la gestion de La Belle électrique. Soit après plus de sept heures de séance en visioconférence qui n'avaient rien d'un apéro Zoom.
De quoi passablement agacer les conseillers municipaux d'opposition. Qui, de concert, tirent à boulets rouges sur la décision de la Ville de Grenoble de casser la procédure de DSP, au profit d'un nouveau mode de gestion à définir. Ce en reprenant notamment les termes du communiqué chargé d'inquiétude de l'association Mixlab, gestionnaire actuelle de La Belle électrique et seule candidate pour le renouvellement de la DSP.
Haro sur la politique culturelle de la Ville
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