FLASH INFO – Depuis plusieurs jours, le visage de Victorine Dartois apparaît sur les tous les médias nationaux. Le corps de la jeune iséroise de 18 ans a été retrouvé dans un ruisseau de Villefontaine, deux jours après le signalement de sa disparition. En charge de l'affaire, le parquet de Grenoble a livré mercredi 30 septembre les premières conclusions de l'autopsie.
Selon le rapport, l'examen du corps de la jeune femme évoquerait une mort par noyade "avec intervention d'un tiers". Et ceci en raison "de multiples ecchymoses internes" identifiées sur la dépouille. Le parquet précise en revanche qu'aucune trace de violence sexuelle n'a été constatée. Ce qui ne suffit pas, ajoute-t-il, pour écarter cette hypothèse à ce stade de l'enquête.
C'est le samedi 26 septembre au soir que l'alerte de la disparition a été donnée. Alors que Victorine avait signalé être en route pour rentrer à son domicile, tout en précisant qu'elle n'aurait bientôt plus de batterie sur son téléphone. Suite à sa disparition, une battue avait été organisée, mais ce sont finalement les gendarmes et leur équipe cynophile qui ont retrouvé sa dépouille, immergé dans une zone difficile d'accès.
L'affaire est à ce stade couverte par nombre de médias, comme en témoignent les nombreuses sollicitations auprès du procureur de la République de Grenoble. Elle suscite également une forte émotion sur les réseaux sociaux, entre messages de condoléances... et appels au rétablissement de la peine de mort.
Tandis qu'un groupe Facebook dédié à 'la recherche de la vérité sur les circonstances de la mort de Victorine Dartois" compte déjà près de 2000 inscrits, moins de 24 heures après sa création.