EN BREF – Les élections municipales approchent et chaque candidat bat plus que jamais la campagne. C’est le cas de Thierry Monel, à Échirolles. L’ancien premier adjoint a déposé sa liste « Échirolles, notre ville, notre vie », l’une des trois listes concurrentes issues de l’ancienne majorité municipale. Une configuration inédite qui n’effraie pas le candidat, confiant à quelques jours du scrutin, malgré une campagne sous tension.
Tout est parti des « Échirolles cafés » en septembre dernier. Des rencontres avec les Échirollois pour travailler sur le programme et constituer une liste « représentative de la diversité d’Échirolles ». Baptisée « Échirolles, notre ville, notre vie », la liste se veut citoyenne et sans étiquette, seulement soutenue par Génération.s. Un parti qu’avait rejoint Thierry Monel fin 2018.
Le candidat en profite pour tacler la liste portée par Renzo Sulli. « Chez nous, on n’est pas collectionneur d’étiquettes. On a des sympathisants verts mais on n’a pas inventé Échirolles Écologie », souligne Thierry Monel. Qui vient par ailleurs d’annoncer dans un communiqué le ralliement de Solange Adelise, militante socialiste et ancienne conseillère municipale déléguée aux sports et au handicap de Renzo Sulli.
Une information démentie par Laetitia Rabih, « première » des socialistes sur Échirolles et présente sur la liste de Renzo Sulli. Solange Adelise « s’est exclue elle-même du PS en soutenant une liste autre que celle d’Échirolles en commun » affirme t‑elle. Précisant qu’elle « n’est pas à jour de cotisations depuis des années … et que M. Monel tente d’usurper la propriété intellectuelle et l’appellation du PS ».
Les priorités : l’insécurité, la jeunesse et l’appauvrissement
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