FOCUS - La situation des gens du voyage de Villard-Bonnot, installés à proximité d'une usine de traitement des boues urbaines, inquiète la conseillère communautaire du Grésivaudan Geneviève Picard. Qui propose d'implanter les personnes sur un site de la commune de Saint-Ismier. Refus de la communauté de communes, qui a jeté son dévolu sur une parcelle du Versoud.
Des conditions de vie indignes pour les gens du voyage de Villard-Bonnot ? C'est la situation que décrit Geneviève Picard, conseillère communautaire du Grésivaudan et élue d'opposition de Saint-Ismier.
Implantée sur la commune depuis près de trente ans, la famille Bony occupe actuellement une aire à moins de cent mètres de l'usine Terralys.
Un site où sont traitées des boues urbaines « de plus en plus génératrices d’odeurs insoutenables », écrit Geneviève Picard. Et de maladies : un chien y serait mort de la leptospirose, une maladie transmissible à l'homme.
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