FOCUS - Émilie Chalas, candidate aux municipales de Grenoble, a présenté ce 29 janvier ses propositions en faveur de la culture. La tête de liste met en avant dix-neuf mesures censées « faire revivre la culture à Grenoble ». Non sans critiquer la politique d'Éric Piolle faisant de la culture l’une des « principales victimes collatérales » de son mandat.
Ce mercredi 29 janvier, lendemain du premier débat des municipales, Émilie Chalas évoquait la thématique de la culture à Grenoble. En tête de la liste Un nouveau regard sur Grenoble (UNRG) et accompagnée de sa colistière Sandra Beltras, la candidate a présenté dix-neuf mesures censées « faire revivre la culture à Grenoble ».
Non-reconduction de la subvention des Musiciens du Louvre, réduction de celle de la MC2, fermetures de bibliothèques et de la Régie 2C, municipalisation des théâtres, l'épisode du Ciel… Émilie Chalas n'a pas de mots assez durs pour critiquer, avant sa présentation, la politique culturelle d'Éric Piolle. « Nous avons, là, une approche très destructrice de la culture, alors que c'est le troisième budget de la Ville ! », fustige-t-elle.
« La culture est l’une des principales victimes collatérales du mandat d'Éric Piolle »
Pour Émilie Chalas, l'affaire est entendue, « la culture est l’une des principales victimes collatérales du mandat d'Éric Piolle ». Un constat sans concession partagé, assure-t-elle, « par les très nombreux acteurs de la vie culturelle grenobloise rencontrés depuis des mois ».
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