FIL INFO — Dans le cadre du colloque scientifique « Urban Feedback », l’Institut d’urbanisme et de géographie alpine de Grenoble propose une soirée “historique” le mercredi 29 janvier à partir de 19 heures. Au programme : trois films retraçant l’évolution urbaine de la ville, de 1926 à 2019. Plus l’inauguration d’une exposition consacrée à la naissance et à l’évolution du « mythe du laboratoire urbain grenoblois ».
Une rentrée tout en histoire pour l’Institut d’urbanisme et de géographie alpine de Grenoble. Dans le cadre du colloque scientifique « Urban Feedback » qui se tient les 28, 29 et 30 janvier 2020, l’IUGA propose une soirée cinéma et vernissage d’exposition le mercredi 29 janvier à partir de 19 heures. Alors que le colloque se penche sur « cinquante années d’enseignement et de recherche en urbanisme », la soirée mettra l’histoire de l’urbanisme grenoblois à l’honneur.
À travers trois courts-métrages pour commencer, proposé en partenariat avec la Cinémathèque de Grenoble. Le premier, un portrait de Grenoble au titre éponyme, date de 1926. Le second, décrit l’IUGA, « porte sur l’urbanisation des campagnes et date de 1975 ». Le troisième est, pour sa part, contemporain, et « revisite les deux films précédents, tout en proposant sa propre traversée de Grenoble en 2019 ».
Une exposition à l’IUGA sur le « mythe du laboratoire urbain grenoblois »
Autre événement : l’inauguration d’une exposition « Grenoble : Laboratoire urbain ? » proposée dans le hall de l’IUGA depuis le 20 janvier et jusqu’au 21 février 2021. Son objet ? « Proposer une réflexion sur le mythe du laboratoire urbain grenoblois », écrit l’Institut. En s’interrogeant sur les origines narratives et sur les personnalités emblématiques qui ont incarné ce laboratoire urbain grenoblois si souvent évoqué.
Autres questions : quelles sont les principales réalisations du laboratoire en question ? Comment sa dynamique a‑t-elle évolué et « quel regard porte-t-on aujourd’hui sur cette notion issue des années 60 – 70 ? » En mélangeant cartographies, photographies ou vidéographies à des créations contemporaines, les étudiants auteurs de l’exposition dressent ainsi « le portrait d’une métropole qui se réfléchit ».