FOCUS — Les vœux de la directrice CHU Grenoble Alpes (Chuga) Monique Sorrentino vendredi 17 janvier n'ont pas été de tout repos. Un collectif inter-hospitalier a souhaité en effet prendre la parole pour rappeler les revendications du monde hospitalier en général, et les besoins à leurs yeux criants des hôpitaux grenoblois en particulier.
Une bonne année et surtout… une bonne santé ? Vendredi 17 janvier, les vœux de la directrice du CHU Grenoble Alpes (Chuga) Monique Sorrentino ne se sont pas déroulés comme prévu. La raison ? Un collectif inter-hospitalier a profité de l'occasion pour présenter ses propres vœux… et ses revendications. Une prise de parole facilitée par le maire de Grenoble Éric Piolle, présent en tant que président du Conseil de surveillance du CHU, nous explique le collectif.
Présenté par un membre du collectif, les vœux en question n'avaient rien d'un exercice de courtoisie. « L’hôpital public est en crise, l’hôpital public brûle et pendant ce temps nous regardons ailleurs », a ainsi déclaré la personne au micro en paraphrasant le célèbre discours de Jacques Chirac à Johannesburg. Non sans rappeler les mouvements de grève qui touchent le CHU depuis plusieurs mois.
« Violences et maltraitances »
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