FOCUS - Émilie Chalas et son colistier Jean-Claude Borel-Garin, ont présenté, ce 17 janvier, leurs propositions en matière de sécurité. Ainsi préconisent-ils la vidéoprotection, plus de fermeté envers les petits délinquants ou encore la réorganisation de la police municipale. Le tout grâce à cinq leviers : la prévention, la réussite éducative, l'expulsion des squats, un plan propreté et un observatoire de la délinquance. Une conférence de presse qui s'est terminée, comble de l'ironie, par le départ précipité d'un journaliste du Dauphiné libéré poursuivi par un colistier vindicatif…
« C'est important d'être devant le siège de la police municipale pour parler sécurité, un sujet majeur de la campagne », amorce Émilie Chalas. Accompagnée de Jean-Claude Borel-Garin, ancien directeur de la DDSP3Direction départementale de la sécurité publique et ex-patron du Raid, la candidate aux municipales présente, ce 17 janvier, ses propositions en matière de sécurité.
« Les chiffres sont là ! », lance-t-elle, avant de citer « la hausse des violences contre les personnes, les incendies volontaires et la persistance du trafic de stupéfiants ».
« Face à cette réalité, poursuit la candidate, il s'agissait pour nous d'apporter des réponses concrètes ». Autre réalité indirectement liée au manque de sécurité ressenti par les Grenoblois, selon elle, « l'état d'une ville mal entretenue, pas assez éclairée, avec des tags partout, des poubelles qui débordent… ». Sur tous ces sujets, « au-delà des mandats et de la politique, la situation n'est pas bonne à Grenoble », estime encore Émilie Chalas.
Poursuivez votre lecture
Il vous reste 85 % de l’article à lire. Obtenez un accès illimité.
Vous êtes déjà abonné.e ? Connectez-vous