FOCUS – Le PCF grenoblois, qui a rejoint en novembre le collectif Grenoble en commun pour soutenir la candidature d’Eric Piolle a récemment présenté son programme. Un programme clairement axé sur la qualité des services publics, les questions de logement et la participation des habitants à la vie de la commune.
« À gauche, nous avons des partenaires, et parfois des adversaires, mais pas d’ennemis », affirme l’équipe du PCF grenoblois à propos de son adhésion à la liste d’Eric Piolle, Grenoble en commun.

Conférence de presse organisée le 18 décembre 2019 au siège de la section communiste de l’Isère. © Laure Gicquel – placegrenet.fr
À l’origine, le PCF a proposé à ses adhérents trois listes potentielles. L’une aurait représenté la gauche radicale, la deuxième aurait été une liste autonome PCF, et la dernière consistait à rejoindre la liste de Grenoble en commun. Le troisième choix a emporté une adhésion massive – 87 %.
Contre Alain Carignon, Émilie Chalas… et Olivier Noblecourt
« L’important, c’est de rassembler les forces de gauche. De faire émerger une culture commune, et de mesurer le risque du retour de l’extrême droite, par le biais d’Alain Carignon. » Contre la droite et l’extrême droite, donc. Mais également contre la candidate LREM Émilie Chalas. Et donc, par extension, contre Olivier Noblecourt, perçu comme trop impliqué dans le gouvernement actuel.
On croirait lire le partie socialiste.…Le sociétal prend la place sur le social.
Le PCF a arrété de défendre le travailleur (producteur) et la lutte des classes… pour ce concentrer sur le néo-feminsime
Le partie communiste est mort alors qu’il devrait avoir un boulevard avec les inégalités de richesses qui s’intensifient en France avec la mondialisation.
et même pas l’ombre d’un ouvrier …