FOCUS - En lice pour les municipales autour d’Olivier Noblecourt, le collectif Grenoble Nouvel Air entend revivifier la démocratie participative. Et pointe “les promesses non tenues” en la matière de l’équipe conduite par le maire écologiste Eric Piolle. Le collectif revendique par ailleurs avec fierté être le seul groupe à adhérer à la charte éthique de l'association Anticor.
Ce vendredi 29 novembre, plusieurs membres du collectif Grenoble Nouvel Air se sont retrouvés autour d’un café, au Flagrant délice, en face de la Maison de la Culture, à Grenoble.
But de cette nouvelle opération médiatique du collectif, se présentant comme « l'alternative citoyenne de gauche et écologiste » pour les municipales 2020 à Grenoble ? Présenter à la presse ses propositions en matière de démocratie participative. Un sujet qui mérite au moins la même considération que la sécurité et l'ordre public, compare l'un des militants.
Sont venus à la rencontre Hélène Vincent, présidente de la MJC Prémol et ancienne adjointe de Michel Destot (PS) ; Cécile Cenatiempo, militante PS, ex-présidente de l'union de quartier Vigny-Musset-Village olympique ; Najoua Rached, militante PS et engagée dans diverses associations ; David Bousquet, membre du Conseil national du Parti socialiste ; Jean-Loup Macé, conseiller départemental isérois dans l'opposition PS et Florence Hanff, ancienne adjointe de Michel Destot, et militante à Go citoyenneté. Un mouvement local qui a récemment rallié Grenoble Nouvel Air.
Grenoble Nouvel Air signe la charte Anticor
"La démocratie locale nous tient à cœur, assène Cécile Cenatiempo, qui s’est particulièrement mobilisée contre la fermeture de bibliothèques à Grenoble. Nous y travaillons depuis plusieurs mois […] Ce n’est pas un sujet facile et nous avançons avec beaucoup d’humilité », poursuit-elle. L’enjeu pour Grenoble Nouvel Air ?
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