EN BREF - À Grenoble, les élections municipales en toile de fond, le groupe d'opposition des socialistes et apparentés vole en éclats. Après l'annonce du ralliement de deux élues au mouvement conduit par le maire sortant Eric Piolle (EELV), leurs collègues de banc se désolidarisent et créent leur propre groupe.
À gauche, le morcellement continue. Le ralliement de Marie-José Salat et Anouche Agobian au collectif conduit pour les municipales de Grenoble par le maire sortant Eric Piolle (EELV) vient de faire voler en éclats l'unité du groupe du Rassemblement de gauche et de progrès (RGP).
Dans un communiqué, Sarah Boukaala (Parti radical de gauche), Paul Bron (Go citoyenneté), Jeanne Jordanov (non encartée) et Patrice Voir (Parti communiste) annoncent quitter le groupe d'opposition qui réunissait jusque-là sous la même bannière des socialistes et apparentés. Pour créer leur propre groupe Grenoble gauche solidaire.
« Siéger dans le même groupe n’était plus possible »
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