EN BREF - À huit mois de l'échéance, Stéphane Gemmani s'inquiète d'une élection municipale grenobloise « en passe d'être confisquée ». Autant par la majorité actuelle que par la LREM, estime le chef de file de Grenoble 2020. Une réaction avec, en filigrane, l'investiture d'Émilie Chalas, l'affaire du burqini voire même certaines prises de positions à gauche.
« L’élection municipale de Grenoble est en passe d’être confisquée », s'inquiète Stéphane Gemmani par voie de communiqué. Alors que les processus d'investiture vont s'accélérer, le chef de file du groupe Grenoble 2020 également membre de la coalition Grenoble 2020 nous rassemble avec Matthieu Chamussy, hausse le ton.
Le contexte ? Celui de la récente investiture d'Émilie Chalas par LREM, de l'“affaire du burquini”, voire même certaines prises de position à gauche.
Des élections confisquées donc, mais par qui ? D'abord « par la majorité actuelle et son maire », explique Stéphane Gemmani. Mais aussi par « la pratique politique d'En marche » avec la désignation « jupitérienne » d'Émilie Chalas comme tête de liste LREM aux municipales « ne recueillant aucun consensus ».
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