FIL INFO — Situation quasiment inchangée sur le bassin grenoblois et le Nord-Isère en matière de pollution. Les deux territoires restent en vigilance niveau 2, avec mesures de restrictions de vitesse et circulation différenciée. En revanche, une amélioration sur le Bassin zone alpine amène un retour à la normal sur cette zone.
Si la pollution à l’ozone qui touche le département de l’Isère connaît une légère amélioration mardi 2 juillet, celle-ci ne concerne que le Bassin zone alpine. Toutes les mesures de restrictions de circulation mises en place dans ce secteur sont donc levées, indique la préfecture de l’Isère. En revanche, les réductions de vitesse comme la circulation différenciée sont toujours de vigueur sur le bassin grenoblois comme sur le Nord-Isère.
Ainsi, seuls les véhicules affichant une vignette Crit’Air de classe « zéro émission moteur » ou de classes 1, 2 et 3 sont autorisés à circuler dans le périmètre de la Métro. Autrement dit, les voitures sans vignettes, ou dotées de vignettes de classes 4 ou 5, sont priées de ne pas prendre la route. La mesure exclut toutefois l’A41S, l’A480, l’A51, l’A48, l’A49, la rocade sud (RN87) et la RN85.
La gratuité des transports se maintient
La situation est quasiment la même sur le Nord-Isère, où les véhicules sans vignette ou de classes 4 ou 5 sont interdites de circulation sur les communes de Bourgoin-Jallieu, Chasse sur Rhône, L’Isle d’Abeau, Pont-Evêque, Saint Quentin-Fallavier, Vaulx-Milieu, La Verpillère, Vienne, Villefontaine et Seyssuel. Sur le reste du territoire, ainsi que sur le Bassin zone alpine Isère, tous les véhicules avec une vignette Crit’Air peuvent circuler, quelle que soit leur classe.
Enfin, les transports en commun demeurent gratuits toute la journée du mardi 2 juillet sur le réseau de la Tag comme de Transisère. À noter qu’une mesure similaire est adoptée sur le réseau des transports en commun du Grésivaudan Tougo, Si l’Isère demeure en niveau 2 pour la pollution, le retour à des températures “normalisées” a mis fin à la vigilance Canicule. En attendant enfin une baisse du taux d’ozone dans l’atmosphère ?