FOCUS - La Ville de Grenoble a vendu la totalité de ses actions dans la société d'économie mixte Minatec à la Métro. Laquelle en a rétrocédé une partie à la Région. Mais le Département, poussé à céder ses parts, rechigne. Du coup, le président de l'association démocratie, écologie, solidarité (Ades) saisit la justice. Le feuilleton de la vente des actions Minatec continue, sur le terrain judiciaire désormais.
Le feuilleton autour des actions détenues par les collectivités locales dans la société d'économie mixte Minatec suit son cours. Après la vente des parts de la Ville de Grenoble et la passe d'armes rocambolesque au sujet du partage des parts du gâteau entre la Métro, le Département et la Région, voilà donc le dossier sur le bureau du juge administratif.
Le président du Conseil départemental de l'Isère, Jean-Pierre Barbier, ayant refusé de vendre ses actions – il en détient 33 % –, la Métro ayant abdiqué à l'idée de lui faire entendre raison de manière un peu plus musclée, le président de l'association démocratie, écologie et solidarité (Ades) a dégainé l'option “recours”.
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