FIL INFO – Le Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble (GHM), le Centre hospitalier universitaire Grenoble-Alpes (Chuga) et l’Association des cardiologues libéraux (Acla) organisent la première édition du congrès CardiAlpes. Un rendez-vous consacré à la cardiomyopathie, domaine méconnu mais en plein essor… et en plein progrès.
La première édition du congrès CardiAlpes se tient à Grenoble ces vendredi 9 et samedi 10 mars. Organisé par le Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble (GHM), le Centre hospitalier universitaire Grenoble-Alpes (Chuga) et l’Association des cardiologues libéraux (Acla), le congrès est très spécifiquement dédié aux cardiomyopathies.
La cardiomyopathie est définie par la Ligue contre la cardiomyopathie comme « un groupe hétérogène de maladies entraînant un dysfonctionnement intrinsèque du myocarde ». Un domaine médical « insuffisamment reconnu en cardiologie mais néanmoins en plein essor » pour les organisateurs du congrès, qui mentionnent les importants progrès réalisés dans la prise en charge de ces maladies.
Du diagnostic aux traitements des pathologies
Ce sont ainsi 80 professionnels de santé qui sont attendus sur les deux moments-clés du congrès. En premier lieu, un dîner-conférence qui se tiendra ce vendredi 9 mars à 19 heures, au cours duquel plusieurs experts locaux ou nationaux prendront la parole sur des thématiques précises, telles que la démarche diagnostique ou l’impact génétique sur les cardiomyopathies.
Le congrès se poursuivra durant la journée du samedi 10 mars, avec de nouvelles prises de parole sur les différents types de cardiomyopathies existants, depuis la maladie de Fabry aux cardiopathies inflammatoires en passant par l’amylose cardiaque. La clôture est prévue pour 15 h 30, autour d’une question cruciale : « Quelles promesses pour 2019 ? ».