FOCUS - Ce mardi 14 novembre, l’association grenobloise pour la création et la recherche sur les outils d’expression (Acroe) a officialisé le lancement du projet de réseau européen Art-Science-Technologie pour la créativité numérique (EASTN-DC), en présence des quatorze partenaires européens et des politiques locaux en charge de la culture. L’objectif d’EASTN-DC ? Rien moins qu'accompagner la troisième révolution numérique.
« Ce projet est né de l’hypothèse qu’après l’augmentation de la puissance de calcul et la révolution internet, c’est l’adaptation du numérique à nos sens et à notre créativité qui va suivre », s'enthousiasme Annie Luciani, codirectrice de l’association grenobloise pour la création et la recherche sur les outils d’expression (Acroe).
Laquelle coordonne le projet de réseau européen Art-Science-Technologie pour la créativité numérique (EASTN-DC), inauguré ce mardi 14 novembre à l'Institut polytechnique de Grenoble (Grenoble INP) devant les représentants de quatorze des dix-sept partenaires* et des acteurs politiques locaux en charge de la culture.
Un projet « transnational et transdisciplinaire »
EASTN-DC est « le seul projet de coordination française à avoir été retenu par l’Europe », tient à souligner Corinne Bernard, adjointe aux cultures de la Ville de Grenoble. Il fait en effet partie des quinze projets de “grande échelle” sélectionnés en 2016 par l’agence de l’Union européenne Éducation, audiovisuel et culture (EACEA) parmi 548 réponses à l’appel d’offre Europe Créative-Culture. Et cela en vaut la chandelle puisque cette dernière a octroyé 2 749 576 euros de budget au projet pour les quatre ans à venir.
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