Douze nouveaux restaurateurs isérois ont été titrés Maîtres restaurateurs, et 7 autres ont renouvelé leur titre pour une durée de quatre ans, au cours d’une cérémonie organisée par la préfecture, en présence du président du Conseil départemental de l’Isère Jean-Pierre Barbier, de la présidente d’Isère Tourisme Chantal Carlioz et du sous-préfet de l’Isère Yves Dareau.
« Le titre de Maître Restaurateur, précise Isère Tourisme, résulte de la volonté conjointe de l’État et des professionnels d’identifier et de valoriser les restaurateurs qui ont des compétences professionnelles reconnues et qui s’engagent à travailler des produits bruts, essentiellement frais ».
Créé en 2007, ce titre est décerné par l’État au travers des préfectures. « Le but n’est pas de dévaloriser les différentes formes de restauration, mais de permettre au consommateur de reconnaître et de situer géographiquement les Maîtres restaurateurs », indique encore Isère Tourisme.
Les nouveaux Maîtres
Cette année 2016, ont ainsi été titrés les restaurateurs grenoblois Laurent Allezard (Le BBQ), Vincent Dolezon (Le Saint-Vincent), Sylvain Rousset (Le Gratin Dauphinois), Mickael Bokis (L’Angelis), sans oublier Thibault Ducousset et Alexandre Zdankevitch (Zdank), déjà honorés cette année par le titre de Jeunes talents décernés par le Gault et Millaut.
N’oublions pas le reste du département, à l’honneur grâce aux restaurateurs René Peltier (Le Signal 2108, l’Alpe d’Huez), Alain Joly et Béatrice Fourezon (Le BBA, Crolles), Aurélie Dode (Les Mélèzes, les Deux Alpes), Patricia Costes (Les Cloyères, Bernin), Jérémy et Julie Da Fonseca (hôtel-restaurant de la Poste, Corps), Franck Brun et Cédric Bayle (l’Xtreme bar, Saint-Jean de Bournay), et enfin Cyrille Cassagne (Quinte et sens, Poisat).
Le département de l’Isère compte à présent 91 Maîtres restaurateurs, se classant pour la troisième année consécutive à la sixième place du classement national. Chantal Carlioz s’en réjouit : « Travailler les produits frais, valoriser les produits locaux, contribuent à la promotion touristique de notre territoire et suscitent chez chacun de nos visiteurs l’envie de revenir en Isère », estime-t-elle.
FM