L’Université Grenoble-Alpes lance (H)auteurs, un maga­zine tri­mes­triel gra­tuit de 32 pages dif­fusé à 20 000 exem­plaires et dis­tri­bué dans l’ag­glo­mé­ra­tion gre­no­bloise. Destiné au grand public, il vise à vul­ga­ri­ser les sciences mais aussi être la vitrine, sur papier, de la recherche uni­ver­si­taire grenobloise.

Ce maga­zine tri­mes­triel, à la croi­sée des sciences et des sujets de société, a voca­tion à mon­trer com­ment l’ex­per­tise uni­ver­si­taire peut accom­pa­gner les évo­lu­tions sociales. Pour ce pre­mier numéro donc, focus sur les robots au tra­vers des regards croi­sés d’in­for­ma­ti­ciens, de pro­gram­ma­teurs, de psy­cho­logues mais aussi de juristes et philosophes.

Couverture du numéro 1 du maga­zine (H)auteurs de l’Université Grenoble-Alpes.

Un maga­zine entiè­re­ment réa­lisé en interne, par l’é­quipe de la direc­tion de la com­mu­ni­ca­tion de l’u­ni­ver­sité de Grenoble. Seule l’im­pres­sion a été sous-trai­tée à l’im­pri­me­rie des Deux-ponts, la dis­tri­bu­tion (gra­tuite) étant assu­rée par le Petit Bulletin.

Alors que, sur le cam­pus, biblio­thé­caires et vaca­taires dénoncent la sup­pres­sion des primes de fin d’an­née et le retard dans le paie­ment des salaires, l’u­ni­ver­sité reste sur cer­tains aspects très… discrète.

On ne saura donc rien du bud­get dédié à ce maga­zine. Les repré­sen­tants du per­son­nel, visi­ble­ment peu consul­tés sur la stra­té­gie de com­mu­ni­ca­tion de l’u­ni­ver­sité, non plus.

PC