FOCUS - Après les campagnes "Wanted, ils ont ruiné Grenoble» et "Restore Up », Alain Carignon et le collectif de Républicains Grenoble, le changement, enfoncent le clou. Affirmant notamment que « Grenoble est ruinée », ces derniers lancent une nouvelle opération avec l'élaboration d'un plan de recettes qui ne fait pas dans la dentelle. Entre autres mesures, sont notamment envisagées, les ventes de la tour Perret, de l'Orangerie ou encore du siège du Crédit agricole. L'objectif de ce plan ? "Redonner un second souffle à Grenoble."
Vendre 2 000 logements sociaux, la tour Perret, l'Orangerie, Alpexpo et son foncier, l'hôtel de Ville, l'ancien musée de peinture de la place de Verdun, le siège du Crédit agricole, le Palais des sports... Mais pas seulement. Est également envisagé, en guise de mesure phare, le transfert des bureaux de la mairie, y compris celui du maire, à la Villeneuve dans une des montées de l'Arlequin afin de « redynamiser l'un des neuf quartiers les plus pauvres de France ».
Les Républicains de Grenoble réunis, sous la houlette d'Alain Carignon, ancien maire de Grenoble, au sein du collectif Grenoble, le changement, n'y vont pas avec le dos de la cuillère. Cette nouvelle campagne dans la droite ligne de « Wanted, ils ont ruiné Grenoble » et « Restore up », risque encore de faire jaser dans le Landernau grenoblois.
Qu'en est-il de cette liste à la Prévert ? Ni plus, ni moins que l'élaboration d'un plan de recettes de l'ordre de 136 millions d'euros pour redresser les finances de la Ville « sans toucher au portefeuille des Grenoblois », assurent-ils. Le tout pour redonner à Grenoble, du moins l'espèrent-ils, « un second souffle ».
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