PORTFOLIO – La troisième édition de la Convention de tatouage de Grenoble s’est déroulée samedi 15 et dimanche 16 octobre au Prisme de Seyssins dans une ambiance rock. Que représente le tatouage pour les passionnés de cet art corporel ? Signification très personnelle, symbole de rébellion ou encore effet de mode ? Nous sommes allés à la rencontre des visiteurs et des exposants pour trouver la réponse.
Organisée pour la première fois il y a trois ans par l’association Wild road, la Convention de tatouage de Grenoble a pour but de faire découvrir le monde du tatouage, différentes techniques, ainsi que des artistes qui viennent même de l’étranger. Pour les passionnées et initiés à cet univers, la Convention est une occasion de réaliser leurs projets de tatouages, sous le regard des curieux.
Le tatouage n’est plus l’apanage des marins, prisonniers et bikers
« Le tatouage s’est démocratisé et ouvert à tout le monde, précise Julien, l’un des organisateurs de l’évènement, alors qu’auparavant c’était le domaine des marins, des prisonniers et des bikers. » La preuve de cet intérêt croissant ? Si la première édition de la Convention avait accueilli 25 exposants, pour cette troisième année, il y en a 65.
« Cette année, l’espace est plus grand aussi, mais il est toujours rempli ! », remarquent les organisateurs avec un sourire. « La Convention de Grenoble est par ailleurs connue pour son ambiance conviviale. » Idée confirmée par des participants, qui évoquent non pas la concurrence, mais la solidarité qui règne dans cet univers.
Retour en images sur la journée de samedi.
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Yuliya Ruzhechka