Actualité

Bladetips Energy, le drone générateur d'énergie. Forum 5i 2016. © Yuliya Ruzhechka - Place Gre'Net

EnerNet : quand l’in­no­va­tion se met au ser­vice de la tran­si­tion énergétique

EnerNet : quand l’in­no­va­tion se met au ser­vice de la tran­si­tion énergétique

FOCUS – Organisé le 2 juin der­nier par Grenoble-Alpes Métropole, le forum 5i a dévoilé les der­nières inno­va­tions tech­no­lo­giques de la région. Les douze pro­jets sélec­tion­nés pour la vitrine tech­no­lo­gique du forum étaient cette année déve­lop­pés autour du concept d’EnerNet – l’Internet de l’énergie. Zoom sur cinq entre­prises isé­roises qui se sont lancé le défi de repen­ser l’énergie.

BeezBee : La ruche connec­tée au ser­vice de l’a­pi­cul­ture “cli­mato-intel­li­gente”

BeezBee, une ruche connectée. Forum 5i 2016. © Yuliya Ruzhechka - Place Gre'Net

BeezBee, une ruche connec­tée au Forum 5i 2016. © Yuliya Ruzhechka – Place Gre’net

Imaginez une ruche connec­tée per­met­tant de récol­ter des don­nées sur son poids, son hygro­mé­trie et sa tem­pé­ra­ture, puis de les com­mu­ni­quer à dis­tance. Cela vous semble rele­ver davan­tage de la science-fic­tion que de la réa­lité ? Et pour­tant, les pre­mières ruches connec­tées – une cen­taine envi­ron – sont déjà ins­tal­lées en France, notam­ment à Grenoble, à l’Île d’Amour.

Il ne s’a­git tou­te­fois pas d’une ruche bar­dée de cap­teurs, mais d’une balance connec­tée. Son objec­tif ? Permettre à l’a­pi­cul­teur de réduire ses dépla­ce­ments – et donc ses émis­sions de CO₂ – et avoir accès à des infor­ma­tions impor­tantes sur l’é­tat de santé de sa ruche. Le tout à distance.

BeezBee, une ruche connectée. Forum 5i 2016. © Yuliya Ruzhechka - Place Gre'Net

Fabien Holin, por­teur du pro­jet BeezBee. © Yuliya Ruzhechkanet

Fabien Holin, le por­teur du pro­jet, a eu l’i­dée, il y a deux ans, de cet outil connecté au pro­fit de la smart agri­cul­ture (agri­cul­ture “cli­mato-intel­li­gente”, en bon fran­çais). Pour sa réa­li­sa­tion, il a tra­vaillé avec des api­cul­teurs, afin de mieux connaître leurs besoins et de créer un pro­duit qui cor­res­ponde à leurs attentes.

Une col­la­bo­ra­tion qui lui a per­mis d’ap­por­ter plu­sieurs modi­fi­ca­tions au pro­jet. « Au début, par exemple, on a mis énor­mé­ment de cap­teurs dans la ruche pour comp­ter, entre autres, le nombre d’a­beilles qui entraient et sor­taient », se sou­vient Aurélien Le Saint, qui a rejoint le pro­jet en tant que stagiaire.

« Mais ensuite, les api­cul­teurs nous ont dit que l’in­for­ma­tion essen­tielle pour eux était le poids. Autre cri­tère impor­tant : on avait besoin de créer un pro­duit qui soit aussi dis­cret que simple d’utilisation. »

La com­mer­cia­li­sa­tion du pro­duit a com­mencé en mars 2016. À ce jour, une cen­taine de ruches est déployée en France, quelques-unes en Belgique. « On est encore en phase de lan­ce­ment de ce pro­duit, avec beau­coup de poten­tiel de déve­lop­pe­ment », se réjouissent les pro­duc­teurs. Qui pré­cisent que leur pro­jet, « plus qu’un objet connecté, est un outil connecté ser­vant réel­le­ment la pro­duc­tion agricole ».

Waga Energy : l’éner­gie renou­ve­lable issue des déchets ménagers

Wagabox, le pro­jet de Waga Energy, s’ins­crit dans une démarche de tran­si­tion éner­gé­tique durable en contri­buant à réduire les émis­sions de gaz à effet de serre. Le cœur de ce pro­jet ? La trans­for­ma­tion de bio­gaz issu des déchets ména­gers en res­sources renou­ve­lables et com­pé­ti­tives par rap­port aux éner­gies fossiles.

WAGA-ENERGY. Forum 5i 2016. © Yuliya Ruzhechka - Place Gre'Net

Mathieu Lefebvre, asso­cié et direc­teur géné­ral de Waga Energy. © Yuliya Ruzhechka – Place Gre’net

« Le pro­ces­sus natu­rel qui se crée du fait de la pré­sence de matière orga­nique dans les déchets ména­gers sto­ckés, pro­duit du bio­gaz », explique Mathieu Lefebvre, asso­cié et direc­teur géné­ral de l’en­tre­prise. « La pro­blé­ma­tique de ce gaz-là, c’est que lors­qu’on le capte pour le valo­ri­ser, on aspire aussi le gaz de l’air. Ainsi, devient-il exces­si­ve­ment com­plexe à épurer. »

Waga-Energy achète donc ce bio­gaz. « On donne une valeur éco­no­mique à la pol­lu­tion », pré­cise avec un sou­rire Mathieu Lefebvre. « Grâce à l’ex­ploi­ta­tion de notre tech­no­lo­gie, unique au monde, nous pro­dui­sons du bio-méthane qui a la qua­lité du gaz natu­rel. Il devient ainsi pos­sible de l’in­jec­ter dans le réseau de gaz natu­rel, à la place de celui qui arrive de Russie, d’Algérie ou de Mer du Nord. »

L’entreprise est actuel­le­ment en train de réa­li­ser deux pro­jets en France, qui vont cha­cun per­mettre la pro­duc­tion de pas moins de 20 giga­watts de bio-méthane par an.

Bien que l’i­dée du concept date de 2007, il a fallu presque dix ans de réflexion et de déve­lop­pe­ment pour la mettre en place. Les quatre fon­da­teurs asso­ciés exé­cu­tifs ont ainsi créé l’en­tre­prise en jan­vier 2015. Elle compte aujourd’­hui dix action­naires et huit sala­riés. « L’idée est née au sein d’Air Liquide », confie Mathieu Lefebvre, qui pré­cise qu’une grande par­tie des por­teurs du pro­jet est éga­le­ment issue de cette entreprise.

eBikeLabs : le vélo élec­trique en pleine expansion

Quelle solu­tion connec­tée, dédiée à la mobi­lité, uti­li­ser dans une ville qui se veut « intel­li­gente » (smart city) ? Telle est l’in­ter­ro­ga­tion au cœur du pro­jet eBikeLabs, une star­tup créée en 2015 avec l’ob­jec­tif de « cas­ser les bar­rières d’u­sages du vélo élec­trique ».

eBikeLabs, le vélo électrique connecté. Forum 5i 2016. © Yuliya Ruzhechka - Place Gre'Net

Le contrô­leur d’eBikeLabs. © Yuliya Ruzhechka – Place Gre’net

Comment ? « On déve­loppe essen­tiel­le­ment des logi­ciels et des ser­vices, notam­ment une appli­ca­tion eBikeMaps », explique Maël Bosson, direc­teur géné­ral de la startup.

Ce dis­po­si­tif peut avoir plu­sieurs usages. Premièrement, les per­sonnes en recherche d’in­for­ma­tion sur les vélos élec­triques peuvent trou­ver le modèle qui cor­res­pond le mieux à leurs besoins et à leurs usages et ainsi mieux faire leur choix avant tout achat. Deuxièmement, l’ap­pli­ca­tion per­met de cal­cu­ler des iti­né­raires adap­tés au vélo électrique.

« En fonc­tion de la per­son­na­lité de l’u­sa­ger, de son vélo et de son tra­jet, on pourra voir, en plus du tra­jet entre deux points pré­cis, la quan­tité de bat­te­rie qu’il va consom­mer. Une fois sur son vélo, si la per­sonne a des doutes sur la capa­cité de charge res­tante, notre appli­ca­tion va l’ai­der à en gérer l’u­sage pour lui assu­rer d’ar­ri­ver à des­ti­na­tion », pré­cise Maël Bosson.

Mais les appli­ca­tions de ce pro­jet vont au-delà de la simple opti­mi­sa­tion d’u­sage de la bat­te­rie par rap­port aux besoins de l’u­ti­li­sa­teur. « Grâce à ce dis­po­si­tif, on peut trou­ver faci­le­ment les points de charge, les tra­jets par­ta­gés par d’autres uti­li­sa­teurs. Il est éga­le­ment pos­sible de ren­con­trer d’autres usa­gers de vélos élec­triques pour échan­ger ou lais­ser un com­men­taire sur le modèle qu’on uti­lise, et pour aider les per­sonnes en phase d’a­chat. » De quoi fédé­rer les ama­teurs de vélos élec­triques autour de cette appli­ca­tion, uti­li­sée, pour l’heure, par envi­ron 3000 per­sonnes, y com­pris à l’étranger.

eBikeLabs, le vélo électrique connecté. Forum 5i 2016. © Yuliya Ruzhechka - Place Gre'Net

Maël Bosson, direc­teur géné­ral de eBikeLabs. © Yuliya Ruzhechka – Place Gre’net

Selon Maël Bosson, l’un des atouts de l’ap­pli­ca­tion, par rap­port aux autres dis­po­si­tifs exis­tants, réside dans sa capa­cité à adap­ter le tra­jet au vélo élec­trique. Car les prio­ri­tés lors du dépla­ce­ment ne sont pas les mêmes que celles, par exemple, d’un usa­ger de vélo classique.

« Pour cal­cu­ler un tra­jet à vélo, Google Maps, par exemple, va mini­mi­ser l’énergie dépen­sée, sans prendre en compte d’autres para­mètres. Alors que l’ac­ti­vité phy­sique, lorsque l’on fait du vélo élec­trique, est davan­tage com­pa­rable à de la marche. On pri­vi­lé­giera donc la sécu­rité à la vitesse de dépla­ce­ment. Ceci est pos­sible avec notre appli­ca­tion, où l’on peut par­ta­ger ses tra­jets habi­tuels en indi­quant les che­mins les plus sécurisés. »

Le vélo élec­trique n’at­tire pas for­cé­ment les mêmes usa­gers que le vélo clas­sique. La preuve : envi­ron 80 % des uti­li­sa­teurs de vélos élec­triques ne fai­saient pas de vélo avant. Ce mar­ché est d’ailleurs en pleine émer­gence en France, avec 30 % de crois­sance sur trois ans.

Bladetips Energy : le drone géné­ra­teur d’éner­gie qui rin­gar­dise les éoliennes

Bladetips Energy, le drone générateur d'énergie. Forum 5i 2016. © Yuliya Ruzhechka - Place Gre'Net

Bladetips Energy, le drone géné­ra­teur d’éner­gie, au Forum 5i 2016. © Yuliya Ruzhechka – Place Gre’net

Saviez-vous que seule­ment le der­nier tiers des pales d’une éolienne sert à géné­rer de l’éner­gie et qu’en­vi­ron 80 % de sa struc­ture per­met juste de la main­te­nir à une bonne alti­tude ? Ce constat éton­nant a conduit la star­tup Bladetips Energy à revoir la forme des éoliennes et à en inven­ter une nou­velle : le drone géné­ra­teur d’énergie.

Le dis­po­si­tif mis en place per­met de ne gar­der que cette der­nière par­tie des pales. Une solu­tion source d’im­por­tantes éco­no­mies, alors que le niveau de pro­duc­tion d’éner­gie reste le même que pour des éoliennes clas­siques. La pro­duc­tion de drones en rem­pla­ce­ment d’éo­liennes per­met ainsi d’é­co­no­mi­ser 80 % de matière et 60 % de coûts.

Comment fonc­tionnent ces drones géné­ra­teurs d’énergie ? « Sur chaque bout de pale, on a mis un moteur qui va être activé pour faire décol­ler le sys­tème et lui faire atteindre l’al­ti­tude dési­rée », explique Thibault Cherqui, cofon­da­teur du pro­jet. « Il y a beau­coup d’in­tel­li­gence et d’au­to­ma­tisme dans chaque pale. Chacune d’elles est indé­pen­dante, mais elles tra­vaillent ensemble. C’est pour cela que l’on parle d’un drone géné­ra­teur d’éner­gie et non pas d’une éolienne. »

Bladetips Energy, le drone générateur d'énergie. Forum 5i 2016. © Yuliya Ruzhechka - Place Gre'Net

Thibault Cherqui et Rogelio Lozano, fon­da­teurs du pro­jet Bladetips Energy. © Yuliya Ruzhechka – Place Gre’net

Les trois pales sont reliées entre elles par un câble. Tout le sys­tème décolle au moyen d’un petit héli­co­ptère. Et c’est l’air, balayé par chaque pale, qui contri­bue à la pro­duc­tion d’éner­gie. « Le vent va éga­le­ment pous­ser la struc­ture, qui sera reliée par câble à une géné­ra­trice. Une fois l’al­ti­tude maxi­male atteinte, on va modi­fier la posi­tion des pales et rame­ner la struc­ture. Ce n’est plus le mou­ve­ment de rota­tion mais celui de va-et-vient qui va créer l’énergie. »

Bien que la créa­tion d’en­tre­prise soit pré­vue pour la fin de l’été 2016, des pro­to­types sont déjà réa­li­sés et la star­tup est actuel­le­ment en phase d’incubation.

Son bagage ? Une vic­toire au concours « Énergie intel­li­gente EDF » et un suivi par le pôle de com­pé­ti­ti­vité Tenerrdis. Des marques d’in­té­rêt ras­su­rantes pour la star­tup. « Le but actuel est la créa­tion de la société et le déve­lop­pe­ment d’un pro­to­type de 20 kilo­watts pour la mi-2017 », confie Thibault Cherqui, qui a rejoint, il y a un an, le pro­jet ini­tié par Rogelio Lozano. Avant de démar­rer le pro­jet, ce der­nier a écrit sa thèse de doc­to­rat sur le sujet des drones géné­ra­teurs d’énergie.

Orange Smart Metering : des comp­teurs intel­li­gents pour évi­ter la fraude

Tandis qu’un peu par­tout en France, les comp­teurs com­mu­ni­cants Linky font polé­mique, d’autres dis­po­si­tifs de col­lecte et de contrôle de don­nées mis en place au ser­vice des dis­tri­bu­teurs d’éner­gie se déve­loppent. L’un d’entre eux, Orange Smart Metering, déve­loppé comme son nom l’in­dique par l’o­pé­ra­teur Orange, est des­tiné, dans un pre­mier temps, à des pays d’Afrique. Ce choix géo­gra­phique s’ex­plique par « une oppor­tu­nité com­mer­ciale que le groupe exploite déjà beau­coup dans le domaine de la télé­pho­nie mobile ».

Le dis­po­si­tif pro­posé par Orange per­met de rele­ver des comp­teurs à dis­tance et d’a­gir des­sus, en cou­pant ou en modu­lant l’éner­gie. L’enjeu est de per­mettre aux dis­tri­bu­teurs d’éner­gie locaux de pro­po­ser une offre en adé­qua­tion avec la consom­ma­tion et d’a­dap­ter cette der­nière à la pro­duc­tion, afin d’é­vi­ter des cou­pures totales de cou­rant encore trop fré­quentes. Dernier avan­tage d’Orange Smart Metering : il règle le pro­blème « des fraudes et des non-paie­ments ».

« Les opé­ra­teurs des pays d’Afrique constatent aujourd’­hui qu’il y a 40 % de fraude sur la dis­tri­bu­tion d’éner­gie », confie Florence Germain, ana­lyste d’af­faires du pro­jet. « Nos comp­teurs sont capables de remon­ter toute ten­ta­tive de fraude comme, par exemple, l’ou­ver­ture de capot ou l’ins­tal­la­tion de champ magnétique. »

Orange Smart Meetering, des compteurs communicants intelligents. Forum 5i 2016. EnerNet © Yuliya Ruzhechka - Place Gre'Net

Florence Germain, ana­lyste d’af­faires du pro­jet Orange Smart Metering. © Yuliya Ruzhechka – Place Gre’net

Le dif­fi­culté des pro­duc­teurs d’éner­gie locaux à dis­tri­buer des ser­vices cor­rects est deve­nue une oppor­tu­nité à sai­sir pour le groupe fran­çais, déjà implanté en Afrique. Ce pro­jet s’ins­crit ainsi dans la conti­nuité de l’ac­tion d’Orange dans la région : télé­pho­nie mobile, paie­ments sans-contact et, main­te­nant, pilo­tage de comp­teur intelligent.

Le comp­teur peut rele­ver quinze don­nées dif­fé­rentes toutes les quinze minutes. Mais com­ment évi­ter la fuite de ces don­nées lors­qu’elles sont sto­ckées ? « Il est tout à fait pos­sible de choi­sir de ne pas sto­cker les don­nées rele­vées », assure Florence Germain.

« C’est le choix de nos clients. On peut offrir le ser­vice de sto­ckage pen­dant un cer­tain temps. Si on stocke les don­nées, on va le faire sur une solu­tion cloud sécu­ri­sée, c’est à nous donc de prou­ver que la solu­tion est bonne. Nos clients peuvent nous deman­der éga­le­ment de com­prendre ces don­nées et de les ana­ly­ser pour eux pour, par exemple, pré­ve­nir les pat­terns de fraude. »

Selon Florence Germain, grâce à ces cap­teurs et leur capa­cité d’au­to­ma­ti­ser la relève, la dis­tri­bu­tion d’éner­gie sera ajus­tée et la fac­tu­ra­tion fia­bi­li­sée. Le dis­po­si­tif déve­loppé par Orange peut inté­grer n’im­porte quel type de comp­teur, rele­ver n’im­porte quel type d’in­for­ma­tion et uti­li­ser n’im­porte quel type de communication.

Développé à Grenoble, ce pro­jet réunit aujourd’­hui une tren­taine d’employés, qui étu­dient main­te­nant des oppor­tu­ni­tés com­mer­ciales plus larges sur le plan géo­gra­phique. Comme le nord de l’Europe ou, bien sûr, la France. Mais d’a­bord – les tests d’u­ti­li­sa­teurs à grande échelle en Afrique : 5000 à 8000 comp­teurs vont être déployés dans plu­sieurs pays du Nord du conti­nent en aout 2016. La phase com­mer­ciale du pro­jet est pré­vue début 2017.

Yuliya Ruzhechka

YR

Auteur

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

A lire aussi sur Place Gre'net

Emplois possiblement fictifs à la Région: l'opposition tire à boulets rouges sur Laurent Wauquiez
Auvergne-Rhône-Alpes : Laurent Wauquiez épin­glé pour un dépla­ce­ment confi­den­tiel au Japon, « aux frais du contribuable »

EN BREF - Le Monde a révélé, samedi 20 avril 2024, le déplacement très confidentiel de Laurent Wauquiez, en mars, au Japon. Un séjour d'une Lire plus

Grenoble : sept nou­veaux bus élec­triques mis en cir­cu­la­tion sur les lignes C3 et C4 du réseau M Tag

FOCUS - Le Smmag et M Tag ont présenté, lundi 22 avril 2024, au dépôt d'Eybens, les sept nouveaux bus électriques mis en circulation prochainement Lire plus

Risques présents et habitants inquiets: le Rapport annuel sur les risques et la résilience (Rarre) livre ses conclusions
Risques envi­ron­ne­men­taux, éco­no­miques ou sociaux : les habi­tants de la région gre­no­bloise majo­ri­tai­re­ment inquiets

FOCUS - L'Agence d'urbanisme de la région grenobloise et l'Atelier des futurs ont présenté le Rarre. Autrement dit, le Rapport annuel sur les risques et Lire plus

Après deux années en hausse, l'emploi des cadres en phase de stabilisation en Auvergne-Rhône-Alpes
Après deux années de hausse, l’emploi des cadres en phase de sta­bi­li­sa­tion en Auvergne-Rhône-Alpes

FLASH INFO - L'Apec, association pour l'emploi des cadres, a rendu publics au début du mois d'avril les résultats de son enquête annuelle sur la Lire plus

M’Hamed Benharouga, Nathalie Levrat, Michel Vendra et Antoine Aufragne (Just). © Florent Mathieu - Place Gre'net
La Ville de Sassenage s’al­lie à Just pour mettre en place une mutuelle communale

FOCUS - La Ville de Sassenage a signé une convention avec la mutuelle Just pour la mise en place d'une mutuelle communale, afin de permettre Lire plus

Le salon Mountain Planet de retour à Alpexpo Grenoble, avec la visite de la ministre Dominique Faure
Le salon Mountain Planet de retour à Alpexpo Grenoble, avec la visite de la ministre Dominique Faure

ÉVÉNEMENT - Alpexpo Grenoble accueille le salon Mountain Planet, qui se présente comme "le plus grand salon international de la montagne", du mardi 16 au Lire plus

Flash Info

|

21/04

20h48

|

|

21/04

18h12

|

|

19/04

20h52

|

|

19/04

20h24

|

|

18/04

17h28

|

|

17/04

23h47

|

|

17/04

15h53

|

|

17/04

12h58

|

|

17/04

0h06

|

|

16/04

19h57

|

Les plus lus

Société| Après Un Bon Début, le gre­no­blois Antoine Gentil pré­sente sa méthode édu­ca­tive « star­ter » avec son livre Classe réparatoire

Société| Grenoble, sixième ville « où il fait bon vivre avec son chien », selon 30 mil­lions d’amis

Économie| Le salon Mountain Planet de retour à Alpexpo Grenoble, avec la visite de la ministre Dominique Faure

Agenda

Je partage !