FOCUS - Après le débat contradictoire télévisé, organisé par la Ville, sur le sujet de la première votation citoyenne, les pétitionnaires du Cluq tapent du poing sur la table. Pour eux, pas de doute, les dés sont pipés. De fait, les 20 000 voix majoritaires nécessaires pour remporter la votation, ne pourraient pas être atteintes…
Le Comité de liaison des unions de quartier (Cluq) porteur de la seule pétition qui sera soumise à la votation citoyenne du 10 au 15 octobre n'est pas content du tout… Pas content du débat dans lequel il a débattu face à trois adjoints de la Ville de Grenoble, diffusé en différé sur TéléGrenoble ? Non, tel n'est pas le propos…
Il s'agit plutôt de dénoncer ce qui se trame dans les coulisses du dispositif de la votation citoyenne.
En résumé : la Ville ne joue pas le jeu, affirme le Cluq. C'est-à-dire ? Elle n’aurait pas mis en œuvre les moyens suffisants pour que la votation puisse se tenir dans de bonnes conditions. Et donc… il serait matériellement très difficile d'atteindre 20 000 voix majoritaires [score obtenu par la majorité actuelle aux élections municipales, ndlr]. Et donc… toute cette débauche d'énergie à convaincre, à faire signer des pétitions, etc. serait peine perdue. Qu'en est-il vraiment ?
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