salon de coiffure OéB Coiffure végétale. © Delphine Chappaz - placegrenet.fr

La coif­fure 100 % végé­tale a pignon sur rue à Grenoble

La coif­fure 100 % végé­tale a pignon sur rue à Grenoble

REPORTAGE – Elles ont fran­chi le pas il y a un an, après vingt-cinq ans de réflexions croi­sées dans la coif­fure tra­di­tion­nelle. OéB, du nom de ses deux fon­da­trices, est le pre­mier salon de coif­fure 100% végé­tale sur Grenoble. Mues par une véri­table phi­lo­so­phie, Aurore et Bénédicte se refusent désor­mais à toute chi­mie agres­sive pour le che­veu et la peau, quitte à ne plus pro­po­ser cer­taines prestations.

« Je n’ar­ri­vais plus à pré­pa­rer une colo­ra­tion tra­di­tion­nelle, ça deve­nait épi­der­mique », confie avant l’ar­ri­vée des pre­mières clientes Aurore, cogé­rante du salon de coif­fure OéB. « J’ai un énorme res­pect pour le che­veu. Pour moi, c’est comme de la soie. Avec la coif­fure tra­di­tion­nelle que j’ai ensei­gnée pen­dant treize ans, je n’é­tais plus en adé­qua­tion avec ça. » Portée par la même pas­sion et la même sen­si­bi­lité, Bénédicte, son asso­ciée, ne se voile pas non plus la face : « Nous finis­sions par vendre du soin parce que nous avions nous aussi abîmé et des­sé­ché le cheveu. »

Aurore et Bénédicte ont ouvert OéB un salon de coiffure 100% végétale en Octobre 2013

Aurore et Bénédicte ont ouvert OéB, un salon de coif­fure 100 % végé­tale en octobre 2013. © Delphine Chappaz – pla​ce​gre​net​.fr

Les plantes comme alter­na­tive à l’in­dus­trie pétrochimique

P1070455

Poudre de plantes pure à 100%. © Delphine Chappaz – pla​ce​gre​net​.fr

Partant de ce pos­tu­lat et convain­cues qu’une approche dif­fé­rente existe, les deux amies finissent par délais­ser com­plè­te­ment les tech­niques tra­di­tion­nelles et ouvrent leur salon en octobre 2013 dans lequel elles uti­lisent des pro­duits 100% natu­rels, essen­tiel­le­ment des végétaux.

Hennés purs sans sels métal­liques (cf. enca­dré en fin d’ar­ticle), indigo, eaux flo­rales, huiles essen­tielles, argiles, sont autant de pro­duits qui com­posent aujourd’­hui le panel à dis­po­si­tion des deux coif­feuses conver­ties. « Vous pou­vez pous­ser tous les tiroirs chez nous, vous ne trou­ve­rez aucun pro­duit oxy­dant », affirme Aurore.

Pour Bénédicte, c’est l’a­bou­tis­se­ment de huit ans de tests et d’ex­pé­ri­men­ta­tions per­son­nels. Le temps néces­saire aussi pour prendre contact avec des marques par­ta­geant sa phi­lo­so­phie ainsi qu’une pre­mière clien­tèle à domi­cile. « Travailler à domi­cile m’a per­mis de prendre la tem­pé­ra­ture concer­nant la coif­fure 100% végétale. »

des couleurs chaudes et une déco personnalisée

Les fon­da­trices ont misé sur des cou­leurs chaudes et une déco­ra­tion per­son­na­li­sée. © Delphine Chappaz – pla​ce​gre​net​.fr

Il est 9 heures du matin quand les deux pre­mières clientes de la jour­née poussent la porte du salon. Des cou­leurs chaudes, une déco­ra­tion per­son­na­li­sée et hété­ro­clite les accueillent.

Nous sommes à coup sûr loin d’un salon fran­chisé. « Nous vou­lions que les gens se sentent un peu comme à la mai­son en venant chez nous et n’entrent pas dans un salon de coif­fure clas­sique et sté­réo­typé », assure Bénédicte.

Ainsi, une mez­za­nine abrite un espace biblio­thèque avec des jeux pour les enfants, et une cabine pour coif­fer de façon indi­vi­duelle. Bénédicte l’u­ti­lise notam­ment pour exé­cu­ter des coupes éner­gé­tiques au rasoir coupe-chou.

Une démarche éco­lo­gique globale

La vitrine de OéB dans la rue de Turenne.

La vitrine de OéB dans la rue de Turenne. © Delphine Chappaz – pla​ce​gre​net​.fr

En accord avec le concept affi­ché sur la vitrine, Aurore et Bénédicte ont uti­lisé des éco­ma­té­riaux et ins­tallé des éco­no­mi­seurs d’eau. Elles ont chiné la plu­part de leur mobi­lier dans des recy­cle­ries qu’elles ont ensuite cus­to­misé. Elles ont éga­le­ment racheté du mobi­lier pro­fes­sion­nel d’oc­ca­sion comme les fau­teuils de coiffure.

C’est la deuxième fois qu’Aude, trente-six ans, vient au salon. « La pre­mière fois, je suis venue parce que j’ai demandé l’a­dresse à une amie que je trou­vais tou­jours bien coif­fée. J’ai été d’au­tant plus contente car j’a­vais enfin trouvé quelque chose qui me cor­res­pon­dait. Je suis de plus en plus à la recherche de bio et de naturel. »

Une pre­mière impres­sion convain­cante ren­for­cée par la qua­lité de l’é­coute. « J’étais venue pour une coupe et j’ai trouvé que l’ac­cueil était per­son­na­lisé, très agréable. Nous sommes res­tées un quart d’heure devant la glace à dis­cu­ter de ce qui convien­drait le mieux. »

Préparer le che­veu… au naturel

Bénédicte pose une masque d'argile blanche sur les cheveux d'Aude

Bénédicte pose une masque d’ar­gile blanche sur les che­veux d’Aude. © Delphine Chappaz – pla​ce​gre​net​.fr

Aujourd’hui, Aude tente une toute pre­mière colo­ra­tion sur sa che­ve­lure d’un brun pro­fond par­se­mée de quelques rares che­veux blancs. Bénédicte s’oc­cupe d’elle et, avant de pas­ser à la colo­ra­tion pro­pre­ment dite, va pré­pa­rer le che­veu avec un masque d’ar­gile blanche.

« L’argile net­toie le che­veu pour que le cata­plasme de plante tinc­to­riale puisse s’ac­cro­cher des­sus, explique la coif­feuse. Quand il y a trop de résidu de sili­cone, ou de charge d’an­cienne cou­leur ou autre pro­duit qui ferme l’é­caille du che­veu, ça glisse des­sus. C’est un peu comme quand vous pré­pa­rez un mur, on ne passe pas d’une pein­ture gly­céro à de la chaux sans pré­pa­ra­tion préalable. »

Le cata­plasme de poudre de plante tinc­to­riale est le prin­cipe de la colo­ra­tion végé­tale. Le pro­duit phare est le henné, mais il existe de nom­breuses autres plantes, pro­ve­nant pour la plu­part d’Inde mais aussi de France. OéB se four­nit actuel­le­ment auprès de trois marques fran­çaises qui les ont for­mées à l’u­ti­li­sa­tion de leurs produits.

Des pro­duits non allergisants

La gamme de pro­duits res­pecte donc la santé du che­veu mais aussi celle de la peau et limite les réac­tions poten­tielles (cf. enca­dré en fin d’ar­ticle). « À ma connais­sance, il n’y a pas de réelles aller­gies, mais il peut y avoir des sen­si­bi­li­tés, nuance Aurore. Ce n’est pas parce que nous fai­sons du végé­tal qu’il ne peut pas y avoir une petite into­lé­rance à cer­taines plantes. Malgré tout, il me semble que le cuir che­velu s’ha­bi­tue mieux. »

Une gamme de produits large provenant de 3 marques françaiese

La large gamme de pro­duits pro­vient de trois marques fran­çaises. © Delphine Chappaz – pla​ce​gre​net​.fr

En ce qui concerne le henné, mal­gré quelques cas d’ec­zé­mas de contact, le pig­ment végé­tal est en effet habi­tuel­le­ment bien toléré.

Les che­veux blancs ne seront pas for­cé­ment rouges !

Aurore pose un cataplasme de henné sur la chevelure d'une cliente.

Aurore pose un cata­plasme de henné 100% natu­rel sur la che­ve­lure d’une cliente. © Delphine Chappaz – pla​ce​gre​net​.fr

À côté d’Aude et Bénédicte, Aurore s’oc­cupe de la colo­ra­tion d’une cliente de la pre­mière heure. Une odeur assez pro­non­cée et inha­bi­tuelle dans un salon de coif­fure se répand dans l’air… S’il fal­lait don­ner une com­pa­rai­son fami­lière, l’o­deur est en effet très herbacée !

À 77 ans, cette cliente est une adepte du henné « fait mai­son » depuis très long­temps. Or, depuis que ses che­veux blancs ont gagné la bataille, elle n’ob­te­nait que la cou­leur rouge, carac­té­ris­tique du henné. « Depuis que je viens, c’est par­fait. Ce sont elles qui décident, ce n’est pas moi ! », s’amuse-t-elle.

Le secret réside dans l’al­liance de dif­fé­rents pig­ments végé­taux. Le savoir-faire des pro­fes­sion­nelles per­met de pro­po­ser à leur clien­tèle aux che­veux blancs une échelle de nuances allant du blond très clair au châ­tain foncé.

Si vous avez déjà testé le henné à la mai­son, vous savez qu’un temps de pose d’au mini­mum deux heures est requis. Ce délai est réduit à une heure envi­ron en salon, grâce à un appa­reil à vapeur. Néanmoins, il vous fau­dra vous armer d’un peu plus de patience que pour une cou­leur traditionnelle.

un appareil à vapeur permet d'optimiser la pénétration du produit dans le écailles du cheveu et réduire le temps de pose.

Un appa­reil à vapeur per­met d’op­ti­mi­ser la péné­tra­tion du pro­duit dans les écailles du che­veu et de réduire le temps de pose… qui reste cepen­dant plus long qu’une colo­ra­tion chi­mique. © Delphine Chappaz – pla​ce​gre​net​.fr

Le 100% végé­tal a ses limites

Alternative natu­relle qui fait ses preuves, le 100% végé­tal n’au­to­rise cepen­dant pas les désirs les plus fous que la coif­fure clas­sique serait en mesure de satis­faire. Par exemple : « Aucune plante n’a le pou­voir d’é­clair­cir », pré­vient Aurore. Pas de déco­lo­ra­tion comme des mèches éclair­cies donc, ni de cou­leur cen­drée, iri­sée ou vio­line. De la même façon, il est impos­sible de fri­ser (per­ma­nente) ou à l’in­verse défri­ser. Toutes ses tech­niques néces­si­tant de modi­fier la struc­ture du che­veux par des pro­cé­dés chimiques.

De plus, la syn­thèse chi­mique, bien que très mino­ri­taire, n’est éga­le­ment pas tota­le­ment absente des pro­duits uti­li­sés chez OéB. Cela concerne la com­po­si­tion des sham­poings qui ne peut pas béné­fi­cier du slo­gan « 100% natu­rel ». En effet, si cer­taines des bases lavantes sont d’o­ri­gine natu­relle, comme les noix de lavage, d’autres contiennent des ten­sio­ac­tifs et agents mous­sants. Tels les lau­ryl­sul­fates, agents net­toyants d’o­ri­gine mixte, syn­thé­tique et végé­tale (huile de coco ou de palme).

Bénédicte se veut ras­su­rante : « Ils sont plus doux que les lau­reth­sul­fates et accep­tés dans le cahier des charges bio. » Les lau­ryl­sul­fates sont, il est vrai, auto­ri­sés par cer­tains labels bio comme Ecocert ou la charte Cosmébio. Cependant, recon­nus comme étant des ten­sio­ac­tifs irri­tants pour la peau, leur uti­li­sa­tion dans la com­po­si­tion de pro­duits label­li­sés est sujet à contro­verse. Le label garan­tit néan­moins que les sham­poings d’OéB sont exempts de sili­cone, para­bens, PEG, DTA, etc.

Des limites qui n’ont pas empê­ché les ambas­sa­drices du 100% végé­tal de ren­con­trer leur clien­tèle. D’autant que leur volonté est d’ou­vrir leurs tarifs au plus grand nombre en les main­te­nant dans la four­chette moyenne des salons clas­siques. Une poli­tique qui semble payante. Après un an d’ac­ti­vité, en tra­vaillant à deux, le délai pour obte­nir un ren­dez-vous est d’un mois.

Delphine Chappaz

COLORATION À BASE DE PLANTES OU 100% VÉGÉTALE : GARE À L’AMALGAME !

« Coloration végé­tale », « Teinture aux plantes », « phyto-colo­ra­tion » sont autant de men­tions qui peuvent ame­ner le consom­ma­teur sur de fausses pistes ! En témoigne le résul­tat de notre petite enquête qui vous éclai­rera un peu plus sur ce que vous pou­vez vous mettre sur la tête.

« Toute la force des pig­ments végétaux »

home-pack-oil« En fai­sant de la nature sa com­plice, Phyto a créé pour vous la colo­ra­tion per­ma­nente aux pig­ments végétaux. »

Voici un exemple de slo­gan publi­ci­taire très cou­ram­ment ren­con­tré. Or, si l’on s’at­tarde sur la com­po­si­tion du pro­duit, il s’a­vère que la chi­mie est lar­ge­ment mise à contri­bu­tion dans le pro­ces­sus de colo­ra­tion qui n’a, au bout du compte, rien de naturel.
À y regar­der de plus près (vrai­ment plus près !), les indus­triels pré­viennent des risques d’al­ler­gie et de pré­sence de diami­no­ben­zènes (entre autres pro­duits chi­miques). Mais qu’est-ce que les diaminobenzènes ?

Diaminobenzène/henné noir : même combat !

Le henné est par­fois sus­pecté à tort d’être aller­gi­sant. D’après la Commission de sécu­rité des consom­ma­teurs, il est habi­tuel­le­ment bien toléré mis à part quelques eczé­mas de contact. Sa mau­vaise répu­ta­tion pro­vient sûre­ment des réac­tions pro­vo­quées par les tatouages au henné noir, lar­ge­ment dif­fusé sur les plages en été.
Or, la réac­tion aller­gique n’est pas due au henné mais à l’ad­di­tif syn­thé­tique rajouté pour obte­nir la cou­leur noire. En effet, le henné est natu­rel­le­ment brun rouge. Pour le rendre plus foncé, on peut uti­li­ser soit un deuxième pig­ment végé­tal, comme l’in­digo, soit des pro­duits syn­thé­tiques meilleur mar­ché, et per­met­tant de réduire consi­dé­ra­ble­ment le temps de pose du produit.

Pour les tatouages, le plus sou­vent, c’est de la para­phe­ny­lè­ne­dia­mine (PPD), un pro­duit de syn­thèse bon mar­ché. Or, le PPD est for­te­ment aller­gi­sant et inter­dit sous cette forme dans la légis­la­tion euro­péenne. Seules les colo­ra­tion capil­laires peuvent en conte­nir à des doses maxi­males de 6%. C’est le cas si la men­tion « diami­no­ben­zènes » est inscrite.

Sus aux hen­nés composés !

Aurore prépare une pâte de henné naturel

Aurore pré­pare une pâte de henné 100% natu­rel. © Delphine Chappaz

« Le henné noir est la bête noire des coif­feurs », explique Bénédicte du salon OéB. « Certains four­nis­seurs mettent des sels métal­liques pour qu’ils soient noirs. »

Voilà un autre exemple, peut-être plus per­ni­cieux encore, de colo­ra­tion “natu­relle” plus vrai­ment natu­relle. L’utilisation de hen­nés com­po­sés avec des sels métal­liques (sodium picra­mate) peut deve­nir très problématique.

Outre leurs méfaits sur la santé (aller­gies, effets can­cé­ri­gènes sus­pec­tés), les sels métal­liques pros­crivent com­plè­te­ment l’u­ti­li­sa­tion ulté­rieure de pro­duits oxy­dants, conte­nus dans des colo­ra­tions ou pour per­ma­nen­ter ou défri­ser le che­veu. Au risque de voir tom­ber au fond du lavabo votre belle che­ve­lure lors du rin­çage ! En effet, l’in­te­rac­tion des deux sub­stances détruit la fibre capillaire.

D’une manière géné­rale, sachez que le henné pur est vert lors de sa pré­pa­ra­tion. Toute autre cou­leur doit vous faire dou­ter de sa pureté sans pour autant qu’il s’a­gisse obli­ga­toi­re­ment de com­po­sés chimiques.

Deux embal­lages décryp­tés à la loupe

Voici un exemple de confu­sion pos­sible entre deux pro­duits assez simi­laires… en appa­rence seulement !

P1070469

Il y a henné et henné… © Delphine Chappaz – pla​ce​gre​net​.fr

Sur la gauche, un henné auburn “made in France” acheté chez Carrefour à Saint-Egrève et estam­pillé « colo­ra­tion végé­tale ». Sur la droite un « henné natu­rel » acheté en ligne sur le site Henné Indigo et Compagnie et en pro­ve­nance du Maroc. À pre­mière vue, les deux pro­duits vantent des qua­li­tés végé­tales et natu­relles. Celui acheté en grande sur­face pré­cise même qu’il ne contient pas de PPD.

P1070471

© Delphine Chappaz

Retournons à pré­sent les embal­lages sur la tranche et lisons les petites lignes :

Nous y voilà ! Sur la gauche, le sodium picra­mate fait son appa­ri­tion, tan­dis que le henné du Maroc ne le men­tionne nulle part et pré­cise « henné 100% natu­rel, 0% de pro­duit chimique ».

Les hen­nés auburns sont sou­vent ren­for­cés en sels métal­liques, le henné natu­rel étant cui­vré, nous l’a­vons déjà men­tionné. De plus, sur l’emballage du henné auburn, il est men­tionné d’at­tendre au mini­mum 4 à 6 semaines avant de l’ap­pli­quer sur des che­veux ayant subis des trai­te­ments chi­miques. Un autre indice qui doit vous mettre la puce à l’oreille.
Il ne vous reste plus qu’à bien lire les éti­quettes et conser­ver votre esprit cri­tique… Ce qui est écrit en tout petit est sou­vent le plus pertinent !

DC

Auteur

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

A lire aussi sur Place Gre'net

Alouette des champs. © Christian Aussaguel
Auvergne-Rhône-Alpes : la LPO alerte sur la « dis­pa­ri­tion inquié­tante » des oiseaux des milieux agricoles

FLASH INFO - La LPO Auvergne-Rhône-Alpes s'alarme, dans un communiqué publié le 9 avril 2024, de la "disparition inquiétante" des oiseaux des milieux agricoles. Un Lire plus

Alpes Insertion conteste vivement le reportage (et ses méthodes) de Cash Investigation à son endroit
Alpes Insertion conteste vive­ment les pro­pos tenus dans le repor­tage de Cash Investigation

DROIT DE SUITE - Après un reportage accablant de Cash Investigation sur Fontaine Insertion en janvier 2024 et un rassemblement syndical devant ses locaux en Lire plus

Mobilisation pour des aménagements sécurisés. Crédit Collectif pour l'aménagement cyclable de la Combe de Gières
Piste cyclable dans la combe de Gières : les élus éco­lo­gistes du Département sou­tiennent la péti­tion citoyenne métropolitaine

FLASH INFO - Le groupe Isère écologie et solidarités (IES) au Département a appelé, jeudi 18 avril 2024, à signer la pétition citoyenne métropolitaine pour Lire plus

Échirolles : un bus de la Tag tou­ché par plu­sieurs tirs d’arme à feu, les conduc­teurs exercent leur droit de retrait

EN BREF - Un bus de la ligne C7 a été visé par plusieurs tirs d'armes à feu au niveau du terminus Comboire, à Échirolles, Lire plus

Emplois possiblement fictifs à la Région: l'opposition tire à boulets rouges sur Laurent Wauquiez
Auvergne-Rhône-Alpes : Laurent Wauquiez épin­glé pour un dépla­ce­ment confi­den­tiel au Japon, « aux frais du contribuable »

EN BREF - Le Monde a révélé, samedi 20 avril 2024, le déplacement très confidentiel de Laurent Wauquiez, en mars, au Japon. Un séjour d'une Lire plus

Grenoble : sept nou­veaux bus élec­triques mis en cir­cu­la­tion sur les lignes C3 et C4 du réseau M Tag

FOCUS - Le Smmag et M Tag ont présenté, lundi 22 avril 2024, au dépôt d'Eybens, les sept nouveaux bus électriques mis en circulation prochainement Lire plus

Flash Info

Les plus lus

Agenda

Je partage !